Dans la vingtieme heure

Trois jours s’écoulèrent depuis la fête de noel et il était plutôt anxieux d’avoir raté la jeune fille sur le tournage. Il avait réellement envie de la voir sur un plateau de tournage, mais, il avait un truc important à faire par rapport à sa maman.
Il avait du prendre sa voiture pour rentrer chez lui, elle n’allait pas bien et il ne se sentait pas le cœur de la laisser.
Il avait donné rendez-vous a Haylie assez tard pour passer une soirée avec sa maman.
Il s’était préparé che sa mère d’ailleurs et après l’avoir embrassé sur le front, il la quitta.
Il s’en voulait de le faire, depuis la mort de son père, elle vieillisait de jour en jour et il souffrait de la voir comme ça.
Il prit la route en direction de Denver, gara la voiture non loin du Mc Do et avait attendu la jeune fille.
Il lui avait donné rendez-vous la bas parce que c’était plus facile pour lui, il avait l’occasion de se parquer et si elle le souhaitait, faire un peu les boutiques, car c’était les nocturnes de noel.
Les magasins étaient ouverts jusque minuit.
Chez sa mère, il avait enfilé un jean’s et par-dessus une chemise blanche surmonté d’un pull bleu ciel.. En fait, cela pouvait donner un effet très intellectuel sur n’importe quel garçon mais William avait le chic pour porter des choses banales et les rendre décontractée.
Cela devait sans doute venir de sa taille, sa stature….
Bref, il était arrivé un peu à l’avance et avait garé sa voiture sur le parking, le temps d’arriver devant le snack, il était 20h05 et la demoiselle n’était pas encore la.
Il crut qu’elle ne viendrait pas et sortit machinalement son gsm pour regarder s’il n’y avait pas un message.
Il croisa ensuite un ami à lui qu’il n’avait pas vu depuis un long moment et il discuta un peu avec lui et c’est lorsqu’il s’éclipsa qu’il vit arriver au loin Haylie très élégante. Toute vêtue de noir et blanc, il la vit arriver au loin et il se dit qu’elle était réellement très jolie et sourit.
Il était content de la voir et il se demandait ce qu'elle avait fait depuis leur soirée passée ensemble.
Ils avaient échange quelques sms mais rien de plus.

Elle avait l’air plutôt contente de le voir et lui aussi, il fallait bien l’admettre.
Elle était souriante et lorsqu’elle arriva près de lui, elle l’enlaça pour lui offrir une bise avant de l’appeler Liam.
Cela le fit sourire un peu car sa mère l’affublait très affectueusement de ce surnom et il il n’avait pas songé que c’est ce qu’il avait dit lorsqu’il lui avait laissé un message.
En fait, il aimait bien ce petit surnom, Liam c’était plus court que william et plus joli que Will non ?

« Ravi aussi » lança-t-il avant de la prendre par la main pour la faire tourner sur elle-même et lui dire :

« Laisse moi voir que tu es élégante ? » et il lui dit un petit clin d’œil avant de lui demander ce qu’elle souhaitait faire, expliquant qu’il avait pense qu’il pourrait faire les boutiques, puisqu’elles étaient ouverte. Il n’avait rien de particulier a acheter mais au moins c’était mieux que rester assis, c’était si rare qu’en cette période l’année il fasse si agréable.

En attendant, il avança un peu, ayant gardé sa main, pour se balader un peu en attendant qu’elle lui fasse part de ces envies.
Il était si peu contrariant que peu lui importait l’endroit ou ils allaient.
A moins qu’il déteste réellement celui-ci, cela n’aviat guere importance.
IL prit tout de même la peine de s’excuser quand à son absence à sa répétition, elle, elle avait tenu sa promesse mais lui avait du se débiner :

« Je suis désolé pour tout à l’heure, j’avais promis à ma mère que je passerais, elle n’est pas très en forme alors….. »

Il n’ajouta rien, histoire d’éviter les sujets délicats comme la mort de son père, les raisons qu’il le poussait à rester près de sa mère :

« J’ai pas eu le courage de la laisser…..j’espère que ça s’est bien passé….je suis déçu, j’étais curieux de te voir, vraiment. ;… »

Et c’était la vérité, il aviat envie de la voir sur un plateau mais les obligations familiales était importante. Il aimait tenir ses promesses et s’occuper de sa mère était l’une de celle qu’il avait faite a son père avant sa mort…

« Et dis moi…tu as fait quoi de beau depuis notre dernière rencontre ? »

Toujours le sourire accroché aux levres, le jeune homme lui avoua etre ravi de la voir avec lui en ce moment. Ainsi donc ils avaient tisser des liens le temps d une soirée, ils avait une envie de se revoir l'un l'Autre. Cela toucha particulierement Haylie qui s'était dit le long de ces trois derniers jours qu'elle vivait dans un reve mais que chaques reves a sa fin, elle avait appréciée la compagnie de jeune durant ce jour mais que c était terminé et que la vie devait continuer. Néanmoin ce fut avec une curiosité et surtout par tentation qu'elle s'était décidée a l'appeller.

Bonne réponse de sa part, ils avaient un rendez-vous le soir. Le jeune Carlton la fit tourner, prétextant que c téait pour mieux voir son élégance. Cela fit rire légerement la demoiselle puis il garda sa main dans la sienne tout en lui demandant ce qu'elle comptait faire. Des boutiques a sa portée c était clair qu'elle voulait bien y faire un petit tour. Ce fut alors avec des applaudissement que la demoiselle présenta sa réponse a Liam. Il ne pouvait pas lui offrir mieux c était vrai, a chaques fois on dirais que le jeune homme lit dans ses pensées.

-Oui...oui! Wah...tu sais exactement quoi faire pour me faire craquer toi! Que dirais-tu d aller dans un magasin de lingerie? Non je plaisante bien sur... Non j avais plutot pensé a aller chez Dior...viens essayer des complets! Elle parlait pour lui parce qu elle le trouvait davantage plus attachant vetu d un complet comme ca avait été le cas le soir de la fete.

Puis ils se mirent a avancer quelque peu vers l'Avant en gardant toujours leur main soudée, les doigts a present entrelacés. Haylie entendit le jeune homme dévoiler qu il n était pas venu pour aller voir sa mere. La demoiselle en aurait fais autant pour son pere, la personne qu elle aimait le plus sur la terre, son modele, son idole. Ainsi elle pouvait le comprendre, il n avait cependant pas mentionner son pere aujourd hui comme il l avait fait la derniere fois. Son iniateur au théatre, aux scenes et aux différents jeux d acteurs...non il ne l avait pas mentionné et ne tenta pas de poursuivre sur ce sujet. Ne voulant pas gacher cette soirée a peine entammée elle se décida a en rester la égallement.

William lui dit égallement qu il aurait bien voulu la voir malgré tout, cela lui confirma qu en fait il ne se foutait pas d elle mais que c était bien réel. D'ailleur elle ne voyait pas le Shakespearien comme étant hypocrite et encore moin menteur. Haylie hocha de la tete puis elle s arreta un instant pour pouvoir contempler ses yeux avant de dire.

-Écoute...je comprends Liam, il n y a aucun mal a ca et je t ai promis de t y emmener, je t y emmenerais, tu n as pas a t excuser...ca va! Tout s est bien passé, tu avais déja eu le preview

Puis comme en voulant éviter le sujet le jeune homme se dévia en lui demandant ce qu'elle avait fait de beau, de beau rien mais de bien il y avait tout de meme un tas de choses. Plusieurs rencontres, queqlues unes intéressantes, d autres pas mais bon c ets la vie semble t-il.

-J'ai rencontré un type de mon ancien lycée, un bon petit gars et j ai revue un bonne copine a moi, il y avait tellement longtemps que je ne l avait pas vue...enfin c était super et toi?

Si les hommes sont tous de mauvaises fois, toutes les filles aiment le shopping…..et il n’était pas vraiment surpris….
IL savait donc qu’il avait choisi une activité qui lui plairait mais ce qu’il n’avait pas prévu, c’était l’idée saugrenue qu’elle allait avoir.
Bien sûr, c’était une idée qui aurait pu s’avérer être amusante mais pas pour le jeune homme qui n’était pas très enclin à essayer des vêtements.
Se déshabiller, se rhabiller ensuite, c’était épuisant, on est essouflé….Non, il détestait ça…

Il fit une grimace, haussant un sourcils pour montrer qu’il n’aimait pas trop ça mais il lui expliqua tout de même, c’était la moindre des choses :

« Non, non , oublie cette idée, tu me vois essayer des vêtements ? je déteste ça…….et si tu essaies d’insister, je t’emmène essayer de la lingerie….et je t’assure que je le fais…. »

Elle ne posait jamais de question sur sa vie, et c’était très bien ainsi, il n’avait pas envie d’avoir à lui dire qu’il ne voulait pas parler avec elle de la mort de son père et des conséquences qu’elle avait engendré.
Non pas qu’il ne lui faisait pas confiance mais il n’avait jamais aimer parler de lui, et il avait cette tendance à confondre la compréhension, compassion et pitié dans la bouche des autres, lorsqu’il lui disait qu’ils sont désolés pour lui…

Non, c’était très bien qu’elle ne lui pose pas de questions, il aurait refuser et aurait pu la vexer, alors qu’elle est si belle lorsqu’elle sourit et qu’en prime, si cela pouvait éviter une petit discussion houleuse, alors qu’il se connaissait à peine, cela était mieux pour tous.

Par contre, elle avait sans doute du sentir dans sa voix qu’il s’en voulait quelque peu de l’avoir lâchement abandonné alors qu’il lui aviat lui-même demandé d’assister à l’un de ses tournages.
Elle avait du le comprendre parce qu’elle lui expliqua qu’elle comprenait très bien qu’il avait sans doute eu un empêchement, et qu’en quelques sortes, il n’avait pas à se justifier.

Il lui sourit et il l’agrandit même parce qu’une fois de plus, elle l’avait appeler Liam..

« Ma mère m’appelle comme ça, dans sa bouche ça sonne moins bien que dans la tienne » lança-t-il dans un éclat de rire

« Comment ça se fait que tu m’appelles Liam ? »

Il ne se rappelait plus, en effet, qu’il s’était présenté comme ça au téléphone, mais il avait passé tant de temps chez sa mère ses derniers temps que ç’en était presque devenu un réflexe pour le moment….

« Quand ma mère l’utilise, ça me fait le même effet que lorsqu’elle m’appelle par un nom d’anima sympathique….tu vois le genre…… »

Il préféra ne pas prononcer d’exemple, histoire qu’il ne lui prenne pas l’envie de l’affubler d’un surnom ridicule elle aussi….

Ils avaient à présent changé de sujet et c’était volontaire de la part du jeune homme, pour ne pas qu’elle lui pose trop de question sur sa famille.
Elle avait apparemment revu quelques amis à elle quant à lui….il n’avait pas fait grand-chose a aprt travaillé sur son projet..
Il avait bien fait la rencontre d’une jeune fille à la bibliothèque…mais rien de fabuleux :

« Oh, ben j’ai travaillé un peu sur mon projet, je suis rentré chez moi assez souvent et puis j’ai rencontré une fille assez sympa à la bibliothèque, elle est assez sympa t était dans le même lycée que moi mais je ne me rappelais pas d’elle, je me sentais mal quand je l’ai vue arriver en m’appelant par mon prénom…. Mais bon, à part ça, rien de spécial…….. »

Au fur et à mesure qu’ils avançaient et qu’il voyait les boutiques, il se demandait si elle allait laché l’histoire des essayages si vite….

Haylie fut morte de rire rien qu 'en voyant le jeuen homme changer soudainement d'expression, il aurait eu une tres bonne bonne note pour cette grimace. A le voir ainsi, elle devina qu'il était pas tellement enclin a acceoter son offre, on aurait emem dit qu il détestait cela. Bien entendu il était normal, tout les mecs détestaient faire du shopping, avoir une fille qui leur réclame des bras la journée entiere tout en demandant sans cesse l'avis du jeune homme en question. Non cette fois Haylie était curieuse de voir ce que certaines chemises ferait sur lui ou encore des pantalons.

Face a sa premiere phrase ce fut alors la demoiselle qui en fut tres expressive. Elle se mit a hocher de la tete plusieurs fois tout en affichant un sourire pétillant, elle ne cessait de hocher de la tete tandis que le jeune Shakespearien lui fit un certain chantage, si elle insistait il l'emmenrait dans une boutique de lingerie. La jeuen femme ne put s 'empecher d'emettre un gloussement trouvant la situation plus que délirante. Apres tout, elle n'avait aucune gene pour se montrer en sous vetements quoi que en si peu de temps en compagnie du jeune homme ca sera notament plus embarassant.

-Hum....Monsieur Carlton n'osera tout de meme pas m'y ammener de force nan? Fit elle en passant son index sur le menton du jeune homme

Puis ils engagerent la conversation en parlant plus préciséement du fait que William était allé rendre visite a sa mere, tout cela se transforma sous forme de culpabilité. La demoiselle n'avait pas cherché a en savoir plus se disant que cela ne la concerna pas et qu'elle n'avait pas a mettre son nez partout, cela ne donnera pas de bons potins, rien d intéressant a ses yeux, du moin pas pour le moment. Non cela ne lui servira a rien ce soir, elle ne pourra rien faire, ce n'était aps sa famille et meme si elle voulait faire quelque chose que pourrait-elle faire? Absolument rien, alors aussi bien ne pas chercher a en savoir plus.

Ensuite elle le vit sourire, apres s avoir expliquée a son tour, il avait sourit. Elle ignorait la raiosn était-ce parce qu il auras une chance de revoir Haylie acter sur un tournage? A moin que ca ne sois le fait qu elle lui ait assurer que tout se soit bien allé lors de sa scene aujourd hui ou encore parce qu il avait eu le preview avant les autres? Il y avait al des tas de possibilités et de nature curieuse la demoiselle ne restera pas longtemps dans le doute ca c'était certain! Justement le jeune homme lui avoua que sa mere prenait le meme surnom qu'elle mais que cela sembla moin joli de la bouche de sa mere, Haylie souria avant de souffler un petit : merci! Puis il enchaina en lui demandant pourquoi elle avait peché un tel surnom. C'était vrai que la plupart des gens qui connaissaient un William, l'Appellaient Will mais jamais Liam...ce fut de sa propre bouche que la demoiselle avait découvert a quel point ce petit mot sonnait bien aux oreilles des autres voir meme a la sienne, surtout la sienne. Haylie secoua tout de meme la tete pour lui démontrer a quel point cela était absurde puisqu elle avait entendu d'Abord ce surnom de sa part a lui.

-Mais t est pas possible toi! C est toi qui m a dit Salut Haylie c est Liam...au téléphone tu ne t en souviens pas? Si ca persiste, tu sais qu'il existe des médecins...

Devinant presque la réaction du jeune Carlton, la jeune femme se dit qu'elle devra répondre pour ne pas penser qu'elle était arroguante ou encore qu'elel se prenait pour n'importe qui pour lui donenr des ordres ou encore pour se moquer de lui. C est pourquoi elle se hata de lui répondre avant qu il ne le fasse lui meme.

-Bah quoi? Je ne fais que me soucier de ta santé mon cher, et puis il faut bein qu ils servent a quelque chose ces médecins non?

Fit elle en ajoutant un brin de plaisanterie comme elle saviat si bien le faire d habitude, c'était mieux ainsi, afin qu il ne se lasse pas d elle ni de tourner cette soirée a une concentration de platitude. Non il fallait ajouter un brin d humour,ce qui était tout naturel dans le caractere forgé de la miss. D ailleur il fit de meme en précisant ce que sa mere lui rappellait quand elle le surnommait de Liam. Haylie se mit a rire davantage avant de remettre en place son serre tete, elle n'avait pas de miroir dans son sa ca main ce soir, ce qui l'Agacait un peu sur son look en ce moment, enfin ce n'était pas la peine pour le moment. La jeune fille se contenta d hocher de la tete se disant qu il n y avait rien a ajouter mise a part un petit : je vois parfaitement! Tout en gardant le sourire lanc bien entendu.

Puis il fit diversion avec la question du siecle, ce qu elle avait fait pendant les derniers jours, apaprament lui aussi avait rencontrer des gens, en plus un fille de son ancien lycée, rien de plus banal que ca. Elle ne pouvait pas partager de grands points de vues a ce sujet surtout que cela sembalit tout a fait normal et que c'était bien de se rapprocher un peu de son ''ancienne famille''. Haylie écoutait tout de meme le jeune homme mais garda ses yeux posés sur les vitrines de boutiques, jusqu a ce qu'une de ces vitrines la frappe momentanément, il s agissait en fait de la boutique Le Chateau, une loge de vetements plus chics les uns que les autres. La jeune femme lanca un regard espiegle a son partenaire.

-Je suis prete a tout risquer pour que tu rentres la dedant que tu m essaies ce petit complet noir et bleu....j ai dit tout risquer hein? Qu est ce que j ai dit la...n empeche que... allez s il te plait...[i]Fit elle en lui lancant cette fois les petits yeux piteux un peu comme un chien abattu[/i]

Comme il s’y attendait, l’expression et la grimace sur le visage de Liam avait éclaté de rire la jeune fille. Il n’avait pas réussi à cacher qu’il n’aimait pas cela du tout
Même la personne la moins perspicace qui soit s’en serait rendu compte.
Si accompagner une demoiselle faire les boutiques ne le dérangeait pas vraiment, sauf si ça tourne en défilé de mode, il détestait lui, essayer des vêtements, il était plutôt du genre, à les acheter, les essayer chez lui, à son aise, et puis à la ramener si ca n’allait pas.
Liam était un jeune homme trop indécis pour commencer à essayer des vêtements dans un magasin, à ce niveau la, il était presque aussi difficile qu’une fille.

Alors, histoire de la dissuader de cette idée qui ne lui convenait pas, il la menaça gentiment de l’emmener essayer de la lingerie dans une boutique si elle insistait..
Elle considérait qu’il ne l’y emmènerait pas de force, lui ne l’entendait pas de cette oreille.
Bien sûr, il n’irait pas jusqu’au bout de son chantage, mais il ferait tout pour le lui faire croire, alors lorsqu’elle lui avait dit qu’il ne l’y emmènerait pas de force, avec un petit geste affectueux fort sympathique, il inclina la tête dans une grimace qui voulait dire : « A ta place, Je n’en serais pas si sûre…. »

IL se dit alors qu’elle aviat du comprendre l’allusion et qu’il pouvait passer à autre chose, qui, pourtant, il fallait bien l’admettre.
Elle avait été adorable dans ses propos et il n’avait pas su réprimer un sourire de l’entendre l’appeler Liam..
Il n’avait pas non plus réussi à ne pas lui expliquer la raison de son sourire.
Etant donné la situation et le petit jeu qui s’installait entre eux, il n’aurait pas voulu qu’elle croit qu’il lui prépare un jeu moins amusant pour elle.
Lui demandant comment cela se faisait qu’elle l’appelait Liam, alors qu’il était rare que les jeunes gens portant le même prénom que lui, troque leur surnom de Will pour un autre un peu plus original, et même plus joli à l’oreille….il semblerait que c’est lui qui s’était présenté comme ça, au téléphone, lorsqu’il lui avait laisser un message.
Il éclata de rire devant sa remarque, elle lui conseillerait un médecin et il y songerait…

« JE ne me rappelais pas, a mon avis, c’est d’avoir vu ma mère souvent ces derniers temps….une espèce de reflexe….. »

Il hochait la tête, la main sur son front comme pour dire : « Je suis pas possible…. » alors que la jeune fille voulait connaître les raison de ce surnom…

« Alors, pour ça, il faut que je t’explique toute l’histoire, mon père avait choisi mon prénom parce qu’il était fan de Shakespeare…Alors, il était hors de question qu’on m’appelle autrement que William, c’était sacré pour lui ……puis, un jour, des nouveaux voisins ont eménagés…Mon père ne pouvait pas le supporter et il s’appelait comme moi…. »

Il se mit à sourire toujours avec cette pointe de mélancolie dans le fond de l’œil, il ne pouvait faire autrement lorsqu’il parlait de son père….

« Et un jour, ce monsieur était venu chez moi, pour se présenter….et m’a dit un truc qui ressemblait à » il s’interrompit, se raclant la gorge, comme pour imiter son voisin « Tu t’appelles William mon petit gars, je suppose que comme moi tout le monde t’appelle Will hein »

Il reprit la suite de son discours en réutilisant son propre timbre de voix, et il continua :

« Mon père est alors intervenu en précisant que moi, c’était pas Will, mais Liam….mais mère n’aimait pas au départ, et seul mon père m’appelait comme ça…après, la vie a fait que ma mère a pris le pli…..comme ça tu sais tout…. »

C’était un beau souvenir qui lui avait arraché un sourire mais au fur et a mesure qu’il discutait, lui qui avait a présent fait diversion, il remarqua que la jeune fille ne décollait pas souvent ses yeux des boutiques, principalement masculine…..il craignait le pire et il pouvait…

A croire qu’elle s’était dit que si Dior ne convenait pas, une autre pourrait lui aller…
Pourquoi n’était-elle pas surpris de la voir ralentir la cadence devant cette boutique dont le nom faisait pâlir, sans même imaginer les prix…

« Non…n'y pense même pas....ôte tout de suite cette idée de ta petite tête. » dit-il avant même qu’elle ne lui ai dit un seul mot…..mas, cela ne suffit pas…
Elle avait bien l’intention de l’emmener essayer des vêtements……
Il soupira et en même temps, il était amusé de l’entendre lui dire qu’elle était prête à tout pour le voir enfiler ce complet avant de se rétracter, alors qu’il avait déjà affiché un regard des plus coquin…

« Tout risqué tu dis ? approche » lui lança-t-il avec un petit signe de tête, il la sentait quelques peu réticentes et elle avait raison, alors, malgré son regard piteux, il s’approcha d’elle et tira, pas trop fort pour ne pas lui faire mal, sur sa main qu’il tenait pour qu’elle se retrouve dans ses bras…
Malgré qu’il restait d’une grande douceur, si elle avait voulu lui échapper, elle n’aurait pu y arriver, car elle était prisonnière de ses bras, alors, il lui chuchota à l’oreille :

« Puisque tu veux jouer à ce petit jeu la, ma chère, je suis désolée je vous apprendre que je ne suis qu’un homme comme les autres, qui va vous prendre au mot…. »

Il la souleva alors sans se préoccuper des gens autour lançant une petite phrase qui disait :

« Direction la lingerie……. »

IL attendait de voir dans ses yeux une petit note d’appréhension….ou tout autre expression qui lui donnerait envie de la reposer sur le macadam….

Haylie put alors remarquer dans son petit sourire qu'il était bien déterminé a l'emmener dans une boutique de lingerie si elle le trainerait dans un magasin de linge chic et ''style'' Il en manqua put pour que la jeune femme donne un coup au jeune homme pour lui démontrer qu,elle était forte meme si elle paraissait fragile. Non elle n'aviat nul l'intention de se laisser mener jusqu a une boutique d'intéret masculin. Il fallait dire aussi que ces derniers temps elle n'avait pas shoppinner pour ses sous-vetements, il en restait tout de meme du fait que William était un jeune homme et qu'un certain malaise pourrait s installer. Peut etre bien que s'il avait utiliser cette comparaison, c'est qu'il détestait tres fortement essayer des vetements, était ce par paresse pour ne pas a avoir les retirer pour en essayer un taille en dessous ou bien au dessous sans en avoir la certitude de les enfiler un jour? Tout meme cela n'empecha aps la belle de se mettre a rire a nouveau tout en levant la tete pour le mettre au défi d'oser produire son geste.

Puis le jeune homme lui demanda comment il pouvait etre possible qu'elle le surnomme de Liam plutot que Will comme les autres le faisait si bien. Utilisant la plainsanterie comme explication, le jeune homme ne put s empecher d éclater de rire a son tour. L'effet voulu, il n'était pas vexée qu'elle utilise l'Alzeimer comme étant une explication a sa question, non il trouva cela meme plutot amusant. Puis il se mit a lui expliquer la provenance de ce surnom, il pourriat presque en faire un film...ca remontait a loin certe mais c était tout de meme plutot original. Il appella cela un reflexe, il lui était déja arrivée a elle meme de dire aux gens de l'appeller Lili, le surnom le plus souvent employé dans son adolescence, un surnom un peu enfantin certe mais il y avait tout de meme un petit charme relié a tout ca!

Elle aurait pu se douter que William était du au célebre écrivain d'Angletterre qui avait connu un succes monstre avec ses histoires plus maccabre les unes que les autres. Utlisant de son imagination pour les histoires d'Amour il avait su démontrer aux gens les principales valeurs qui existaitent dans ce monde et qui étaient pourtant bein enfouies dnas le coeur du peuple. La jeune femme étant totallement une experte dnas les émotions que pouvaient dégager les gens, découvrit toujours cette pointe de tristesse dans le visage de son interlocuteur lorsqu il parlait de son pere. probablement un triste moment de sa vie, il devait l'avoir perdu, cela devenait de plus en plus probable pour elle. Ne voulant replanter le couteau dans la plaie la jeune femme continua de se montrer souriante face au reste du récit.

Ce fut le rire de la belle qui accompagna l'imitation du voisin du jeune Carlton, quelle imitation, wah! C,était plus que délirant, elle du meme mettre une main sur sa poitrine pour appaisser les douleurs qui apparaissaient dans son ventre lorsqu'on riait trop. C'était le cas de la Darson, reprenantun peude sérieux elle se hata d'exclamer les queqlues mots.

-Quelle imitaton! Dis tu peux recommencer j'Ai pas bien entendu! Fit elle pour le taquiner un peu

Puis il enchaina le reste de l'histoire en reprenant son timbre de voix initial. Il lui dit que c'était le surnom venu de son pere mais que sa mere finit par accepter , probablement lorsqu'elel se rendit a l'évidence que c'était d autant plus original d'utiliser Lima que Will ou encore parce que son mari succomba et que sa seule maniere de se rappeller de lui était d'employer ce surnom a son fils. Haylie avait gardée une oreile attentive mais avait dirigé son regard vers es vitrines de plus en plus alléchantes. Elle aimait bien magasiner pour les autres bien plus que pour elle meme, le voir essayer des vetements serais pour elle une vraie partie de plaisir.

Ce fut alors avec le petit sourire malicieux et les petits yeux piteux que le jeune homme lui sortit une phrase qui la fit davantage rire. Dire quelque chose est interdit attire davantage l'Attention a la belle que si tout lui est permi c est pourquoi elle insista. Lui répondant par un regard mielleux le jeune homme retena ses derniers mots...tout risqué. Que venait elle de dire? Il fallait dire que c'était davantage plus intéressant pour le jeune homme que si elle lui aurait piquer une crise pour qu il essaie ce famuex petit complet. Se retenant un peu de se laisser guider contre ui question de le défier, le jeune homme parvenu tout meme a l'attirer vers lui. Cette fois il lui glissa a l'oreille les quelques mots qui la fit sourire, bien sur qu'il était un homme comme les autres, probablement attiré par la gente féminine, elle voyait mal par contre le Shakespearien attendre que la belle sorte d une cabine d essayage. Tout de meme pour continuer de jouer le jeu la jeune demoiselle se mit a secouer doucement de la tete tout en lui lancant un petit regard noir.

-Et bien je suis certaine que vous serez ravi d apprendre les conséquences de vos actes monsieur Carlton, osez s'attaquer une pauvre petite fille comme moi...vous n'avez pas honte? Fit elle en jouant avec son regard pour l'influencer.

Peine perdue, le jeune homme la souleva dnas les airs et lui qu'ils iraient tout deux dans une boutique de lingerie. Cette fois Haylie prit un certian appui en mettant ses bras autour du cou du jeune homme puis elle le dévisagea.

-Je suis trop lourde pour que tu puisse que me porter jusqu a la bas...je t'ordonne de me déposer tout de suite Liam...tout de suite tu m'entends?

Elle avait un tel humour qu’elle était on ne peut plus pétillante.
En fait, on pouvait remarquer qu’elle était bien plus à l’aise que le soir de noel, en tout cas, au début de cette soirée, car elle était bien plus à l’aise lorsqu’elle lui offrit une preview de son film.

Bref, elle riait à ne plus savoir s’en remettre si bien qu’elle avait mis sa main sur sa poitrine pour calmer ses pleurs.
Oui, elle était réellement une jeune fille agréable qui en prime, avait le sens de la dérision.
Elle taquinait le jeune homme, lui réclamant une nouvelle imitation de son voisin…

« Tant mieux…. »lui lança-t-il « J’ai un mauvais souvenir de ce vieillard » avait-il lancé sur le même ton que la demoiselle….

Au moins, elle savait comment faire pour en pas qu’il s’enferme dans cette mélancolie.
Il lui arrivait parfois, quand il y pensait, alors qu’il était avec des amis, de se rappeler des souvenirs qui lui enlevait le gout de rire ou de sourire, mais elle était si fraîche et si pleins de joie de vivre qu’elle réussissait à elle toute seule à contrer ce travers qui peut s’avérer très désagréable pour les personnes qui se trouve en sa compagnie

Alors qu’elle n’avait pas l’intention de lâcher l’affaire pour ce complet, elle aviat tout de même dit des choses fortes intéressantes.
Ce genre de discours qu’il ne faut pas tenir devant un garçon, aussi intelligent ou respectueux soit-il, sans qu’il ne cherche à en profiter.
Si elle était prête à tout pour lui faire essayer ce complet, il fallait qu’elle le démontre car lui, il n’avait pas l’intention de lacher l’affaire, et ce, qu’importe son discours.

S’attaquer à une jeune fille comme elle, sous entendu sans défense ?
La jolie blague….il haussa un sourcils, l’œil coquin et le sourire malicieux :

« C’est vous qui vous attaquez à moi Jeune fille…n’est ce pas vous qui utiliser du chantage pour me faire accéder à votre requête…. ? Alors, NON…..je n’ai pas honte…. Mais je reste curieux qu’elles seront les conséquences de mes actes, comme vous le dites si bien… »

Et en moins de temps qu’il ne fallait pour se dire, alors qu’il lui lançait ces quelques mots, elle se retrouva dans ses bras, attirant alors tout les regards sur eux, en direction d’une boutique de lingerie.
IL espérait bien qu’elle ne le pousserait pas à aller jusque la parce qu’il aurait perdu tout crédibilité..
Ce n’était pas son genre de se retrouver dans une boutique de ce genre, avec une beauté comme elle, attendant qu’elle sorte de la cabine à moitié dévetue devant une tonne de vendeuse..
Non, ce n’était en effet pas son genre……mais ça, elle n’était pas obligée de le savoir. ;.

Alors qu’elle le sommait, ou plutôt lui ordonnait de la redéposer, lui ne l’entendait pas de cette oreille :

« Dis moi Jeune fille, tu es sûre que tu es en position pour ordonner ? si j’étais je serais TOUTE gentille avec moi, si tu veux éviter la gene de te balader en sous-vêtement devant moi…. »

Il lui adressa un clin d’œil et il continua :

« TOI qui était prête à tout risquer, je t’écoute, si ça me convient je te dépose…. »

IL repensa à ce qu’elle venait de dire et continuer le jeu jusqu’au bout pour ajouter :

« Et il y a intérêt à ce que cela vaille le coup parce que tu viens tout de même d’insinuer que je n’était pas assez fort pour soulever le poids plume que tu représentes… »

Il la regardait d’un air satisfait, car après ça, l voyait mal comment elle allait pourvoir se défendre….

Lui disant qu'il était mieux pour elle ne pas avoir bien entendu l'imitation, il ignorait en fait qu'elle ne faisait cela que pour l'agacer, pour rire encore un peu de lui. Il avait un mauvais souvenir de ce temps de l'histoire, donc il n'appréciait pas le vieillard dont il était question? Se demandant ce que le pauvre homme ait pu faire pour mériter ce statut de mauvaise perosnne. Enfin encore une fois, elle se mettait a s'imaginer des choses qui ne la regardait nullement. Vriament il faudra qu'elle se controle un peu a ce niveau la si elle ne veut pas se faire dire qu'elle était une petite cachotiere, un peu la réalité en fin de compte. La jeune femme fit un petit haussement d'épaules en guise de réponse avant de faire voir un petit sourire en coin.

Puis usant de grands mots, des mots qui attirent l'Attention de tout le monde a chaque fois, le jeune homme ne détacha pas son regard de celui de la demoiselle étant probablement absobé par les idées face a son petit discour. Oui Haylie était une grande joueuse avec les mots, elle espérait ainsi réussir dans la vie et jusqu a maintenant elle avait réussit. Certe la jeune femme n'était pas prete a jouer a l'extreme avec lui rien que pour essayer un magnifique costar qu'elle serait meme prete a acheter rien que pour le voir le porter. Folle? Possible mais la demoisselle avait une idée en tete et comptait y aller jusqu au bout, peut importe les conséquences...voila un grand mot, peut importe. A vrai dire la petite Darson aurait du peut etre surveiller davantage ses paroles, oui elle aurait du mais bon elle était imprévisible et donnait souvent des décisions impulsives. C'était sans doute cela qui donnnait le charme de la demoiselle?

C 'est alors qu,elle utilisa ses talents d'actrice pour faire succomber son adversaire qui était a present le charmant Calrton. Pensant probablement qu'il allait avoir pitié d'elle et qu'il céderait a l'idée qu'elle n'abandonne jamais et qu'il aura a essayer ce complet, non la petite blonde venait de se tromper une fois de plus. Une réponse digne d'un dimplomate, le jeune shakespearien ne se gena pas pour démontrer son point de vue, qui de toute évidence était probable, néamoin cela ne toucha pas la petite Darson qui ne fit que démontrer sa fierté en levant la tete. Mmeme sous l'emprise du jeune homme il enrestait tout de meme queqlues trucs pour se déprendre, non elle n'ira pas jusqu a le blesser tout meme, il en reste qu'elle usera les paroles pour le dissuader d'aller faire les boutiques de lingerie.

-On ne vous a jamais appris monsieur Carlton que la curiosité est un vilain défault? A vous de deviner, sachez que comme le magicien je ne dévoile jamais mes secrets.

Puis elle ne sentit plus le sol se retrouvant dans les bras du jeune homme ce qui attira une certaine attention de la part des passants. Selon la jeune femme regarder ce qui se passait tout autour ne les regardaient nullement ,voir que cela ne changera rien dans leur vie a eux et que s'ils prenaient la peine de les observer, cela était due a un éternel ennui que de n'avoir rien a faire. C'est alors qu'elle lui ordonna de la déposer, peine perdue, il la garda dans ses bras. William trouvait cela meme amusant, la voir se donenr un air autoritaire. Il utilisa meme le ton de plaisanterie dans sa voix, elle se rendit compte qu en fait il se moquait d'elle. Oui il se moquait d'elle parce qu'elle semblait si fragile mais qu'elle était dotée d'un caractere fort. La jeune Darson adorait mettre les autres au défi, ainsi elle croyait faire augmenter leur esprit de compétition ce qui provoquerait une augmentation de confiance en soi. Bien que cela smeblait etre pris au premier degré par certains, la jeune femme était persuadée que cela renderait les gens plus heureux .

Face a sa premeire phrase la demoiselle se mit a hocher de la tete comme si cela était d une évidence. Puis il lui conseilla de se montrer toute douce et gentille sous peine de se montrer a moitié vétue devant lui. Et bien il se croyait intelligent celui-la, il fallait savoir que l'actrice avait bien plus qu'un tour dans sa manche, qu'elle pourrait si elle le désirait milles et unes tragédies qui feront en sorte qu'elle n'ait rien a faire pour obtenir ce qu'elle désirait. Il fallait donner une chance au Shakespearien, apres tout il ne la connaissait pas encore parfaitement la jeune Darson. Tout de meme la jeune femme ne douta pas qu'il avait d autre chose a dire c est pourquoi elle attendit patiemment le reste. Décidément il était réellement cureiux ce petit cavalier, il voulait qu elle lui propose d alléchant, quelque chose qui fera en sorte qu'il cede a l'idée de porte ce petit costard, qu'il se mette a l'idée d'aller shoppinner un peu pour lui.

-Tres bien descend moi d'Abord et je te donnerais une proposition alléchante

Puis devinant presque la réaction du jeune homme, la demoiselle s'approcha du jeune Liam et déposa un baiser dans le cou avant de venir froler ses levres a l'oreille de son interlocuteur.

-Tres bien tu as gagné...si c est bien me voir dans une boutique lingerie qui fera en sorte que je puisse te voir dans ce complet et bien allons-y, sinon j'Aurais plutot portée a te proposer, un souper dans un restaurant chic seuls tout les deux.... alors? Fit elle en usant une pointe de malice dans sa voix puis elle dégagea sa petite tete de l'oreille du jeune homme pour pouvoir l'admirer davantage dans les yeux. Elle mordit sa levre inférieure avant lui donner un clin d oeil.

Il avait bien remarqué qu’elle se moquait quelque peu de lui mais il avait plutôt bon caractère et donc, il ne se vexerait pas pour autant, d’autant plus qu’elle avait la façon pour le faire.
Ses taquineries n’étaient loin d’être méchante et il jouait ensemble un peu le jeu du « donne-moi ta main que je ne la prenne pas…. »

Il avait aussi cru remarqué dans le brun de ses yeux cette petite touche de curiosité permanente, comme une soif d’apprendre éternelle qui la rendait plus intéressante que jamais. Mais elle avait toujours la délicatesse ne pas poser de question.
Etant donné qu’il ne se connaissait pas depuis longtemps, il ne savait pas si cette discrétion perdurerait dans le dos mais pour le moment, elle avait cette délicatesse qui lui plaisait beaucoup, lui qui ne se sentait absolument pas prêt à confier quelconque secret pour le moment.

Et voici qu’en moins de temps qu’il ne fallait pour le dire, ils s’étaient tout deux enrôlés dans un jeu malicieux et qui pourrait très vite s’avérer dangereux.
Liam n’avait absolument pas l’intention de se laisser aller à ce genre d’attitude qui ne lui ressemblait que peu.
Bien sûr, il était évident que la jeune fille avait la silhouette la plus joliment dessinée qu’il lui avait été donnée mais jamais il ne profiterait de ce genre de situation pour avoir le plaisir de la voir vêtue de la sorte.
Non, bien au contraire, il était plutôt du genre patient ne forçant jamais les choses, laissant le temps au temps, mais la voir user de ses dons indéniables de comédienne pour obtenir ce qu’elle veut méritait bien qu’il se moque un peu d’elle non ?

Elle jouait de ses atouts avec lui, mais malgré sa gentillesse extrême et sa sincérité en bon nombre de circonstances, il savait mettre les points sur les « I » et lorsqu’il le fallait, montrer qu’il n’était rien d’autre qu’un homme avec tous ses défauts, comme la mauvaise foi et dans certains cas le machisme

C’est surprenant comme la demoiselle venait en un rien de temps perdre la contenance qu’elle affichait aussitôt lorsqu’elle se retrouva dans ses bras. Mais ce n’était pas grave, il avait bien remarqué qu’elle avait du caractère et qu’elle ne se laisserait pas décontenancé très longtemps
En moins de temps qu’il ne fallait pour le dire, elle avait déjà levé la tête, préservant sa fierté et tentant de le dissuader par ordonnance et par l’humour toujours…

Liam aussi avait sa fierté et céder n’aurait pas été assez amusant.
Il éclata de rire en l’entendant parler de magicien et de leur secret, et du tac-o-tac, il lui répliqua tout aussi sec :


« Magicienne toi ? Non, tu es toujours un ange qui a tenter le diable a perdu ses aile. Je suis le diable et si il ne s’agit nullement de curiosité, je dirais qu’il s’agit de tentation dont le meilleur moyen de résister est de succomber… »

Dans ses bras, il était sûr qu’elle ne s’était pas une seule seconde imaginée qu’il ferait preuve d’autant de tenacité et qu’il savait lui aussi, malgré qu’il aimait lui faire plaisir, ne pas s’oublier pour les beaux yeux d’une jeune fille, aussi délicieuse soit-elle.

N’ayant pas réellement l’intention de l’emmener se dévêtir, sans doute aurait-il même été plus gêné qu’elle, il était tout de même prêt à faire des concessions et à trouver un arrangement.
Il lui proposa donc quelque chose d’aussi tentant que la lingerie, et il se mit à rire avec ironie lorsqu’elle lui dit de le reposer d’abord….µ
Il sourit et ajouta :

« Je rêve ou tu me prends pour un imbécile ? »

Bien sûr, il avait toujours conservé ce même ton de jeu et de plaisanterie, il n’y avait de méchant à cette situation, elle était juste amusante…
En fait, oui, il s’amusait beaucoup et à en voir l’expression de la jeune fille, il était persuadé qu’elle en riait intérieurement aussi…

Elle avait enchaîné aussi vite, comme si elle avait compris que le jeune homme était tout de même plus tenace qu’il n’en avait l’air et elle lui fit une proposition, accompagné d’une attitude si agréable et d’autant plus tentante qu’il avait déjà ralenti sa course.
Elle s’approcha de lui pour l’embrasser dans le cou et lui arracher ainsi un frisson avant de venir frôler de ses lèvres l’oreille du jeune homme pour lui chuchoter son idée…
Quelle bonheur d’entendre dire ces mots « Tu as gagné »…


Il sourit mais, il ne la redéposa pas pour autant et alors qu’elle lui fit sa proposition, il sourit amuser par celle-ci, il n’en demandait pas tant…..
Il fit mine de réfléchir et dit :

« J’avais dit toute douce en même temps…..Bon….. »

Il la déposa avec délicatesse sur le macadam mais il la gardait prisonnière de ses bras avant de continuer :

« Ca me va mais à condition que ce soit moi qui t’invite…..attention, je suis toujours dans en mesure de te reprendre dans mes bras et de t’emmener dans cette boutique, on est plus très loin….. »

Il avait user pour la fin de son discours d’un faux air de menace mais, de toute manière, il ne lui laisserait pas le choix.
Quand il a décidé quelque chose, il est très dificile de lui oter de la tête, sauf si bien entendu, le tout est pure plaisanterie :

« Mais, je te laisse choisir…..et bon, puisque tu as l’air de tenir à me voir dans un complet je vais devoir accepter, mais pas mi et tu as un intêret à viser la bonne taille tout de suite par ce que j’en essaierai pas mil je te previens d’avance….. »

Il la lâcha, tout en gardant sa main pour lui et il soupira :

« Qu’est ce tu me fais pas faire je te jure…. »

Elle avait de la chance qu’il était dans ses beaux jours…. Et que la voir se mordre le lèvre comme elle le faisait était complètement irresistible.

En fait la jeune femme fut d abord suprise de constater que le jeune Liam était de nature a ne pas s'énerver pour rien, c'était encore plus surprenant de le voir tenir tenir a cette petite Darson. Une jeune femme qui comptait garder son idée jusqu au bout, qui ne comptait nullement lacher prise, apparamment il en était de meme pour lui. Jusqu'ou ce petit jeu allait les mener? Ils pourraient bel et bien s'attacher bien vite l'un a l'Autre , tout cela en deux soirées.

Quoiqu'il en soit cela ne changea pas le fait que la jeune femme aimait beaucoup jouer, elle se donnait des roles, jouant sur chacuns des mots, choissis pour attirer le regard de son tinerlocuteur. A en voir la réaction de William elle s'en tirait bien, pour combien de temps cela durera t-il? Elle l'ignorait mais pour le moment la petite blonde s'amusait bien et lui aussi apparament.

Toujours enroulée dans les bras de son cavalier, celui-ci lui répliqua avec fierté une phrase qui la touchait, les comparant a l ange et le diable. Il se dissait etre le diable alors qu,elel en était l'ange, Haylie ne put s empecher d'Afficher un grand sourire dévoillant a nouveau ses dents blanches. Il était vrai que sortit de la bouche de ce Carlton, la phrase était magnifique mais la voyant tout au long de la soirée, l'entrainant au chantage tout y gardant un peu de malice, elle serait plutot portée a se nominer en tant que diable. Il avait inverser les roles, lui ne cessait d acquieser de la tete et de lui parler, tout pour lui faire plaisir. Par moments il devait se dire qu'elle était plutot effrontée pour oser parler comme elle le faisait mais non il demeurait silencieux et toujours souriant dans ses propos.

Parlant de succomber, si au moin il pouvait céder a l'idée de pouvoir se vetir d un complet...cela lui faciliterait davantage sa tache. En plus elle l'avait déja vu une fois dans des vetements de la sorte, peut etre était-ce a ce moment qu'elle avait craquer pour l'embrasser? Oui Haylie était une maniaque a tout ce qui pouvait se ressmbler aux uniformes. Pour ce qui est d'un costard, le chic était pour elle un atout principal, se montrer beau et élégant rien de mieux pour la belle. Non de toute évidence le jeune Liam utilisait touours de ses belles paroles probablement pour la faire céder elle aussi.

-Que de belles paroles mon cher...pourquoi ne pas devenir poete?

Puis on aurait dit qu'une étincelle venait de naitre dans les yeux de la jeune Darson, une lueur d'espoir était présente au fond de ses yeux marrons, elle utilisera sa pointe de malice pour le faire échouer.

-Et le diable serait-il enclin a succomber a mon idée ou bien je me doit d etre forcée a le punir pour m avoir tenu tete?

Puis toujours entre les bras du jeune homme, la belle craingait de tomber, non pas que le charmant brun ne soit pas en capacité de la soutenir mais il suffissait d un moment de faiblesse pour qu elle se retrouve face au sol ayant salit tout ses jolis vetements et si la malchance se pointait, elle se retrouverait avec des petites égratinures. Non elle devait se faire a l idée que Liam était fort que ses muscles ne servaient pas a rien, enfin c est ce qu il laissait parraitre jusqu a présent.

Puis il fit un geste attendu, il se mit a rire en l entendant lui dire de la déposser d'abord. Bah quoi? Une fille pouvait bien s essayer, mais doutant que le jeune William soit naif elle s'était contentée de lui donner une autre proposition. Une proposition qui était plus satisfaisante pour la jeune femme qui n avait pas tellement envie de se promener en soutif devant lui, du moin pas a cette étape de leur relation. Elle jugea que lui montrer qu'elle cédait a son idée ferais en sorte qu'il égallement a ce qu'elle désirait, il y avait une sorte de logique la dedant. Il ne la fit aps descendre pour autant, cette fois Haylie se demandait ce qu'il voulait de plus pour qu'elle retrouve le sol.

Enfin peu de temps apres, elle put sentir les dalles sous ses pieds, ravie d avoir enfin ses deux pieds sur terre, la jeune femme n'était pas libre pour autant, enroulée dans ses bras elle ne put rien fair d autre que de le regarder dans les yeux lorsqu'il lui proposa de l'inviter lui meme dans un restaurant. La demoiselle souria a nouveau puis elle mit ses deux mains sur le visage du jeune homme avant de l'embrasser rapidement mais tout de meme avec délicatesse.

-Tres bien, je ne te tienderais plus tete...j ai ceder, je veux pas que tu refasses ce que tu viens de faire...compris?[i] Fit elle en tentant de prendre un air sérieux.

Puis la chance lui sourit, elle venait d,entendre les queqlues mots qui la remplirent de joie. Il acceptait enfin d'essayer un complet. La chance, avant qu'il ne change d'avis la demoiselle se hata de répondre.[/i]

-Mais non Liam...pas mille, seulement cent! Je plaisante, bon si le monsieur n as pas envie de se retrouver charger de compelts a essayer, il ferait mieux de me donner la taille exacte...sinon garre a toi, je trouverais tout ce que je trouve mignon et tu sera obligé de les essayer

Fit elle en prenant un petit air menacant, rien que pour l'embeter, elle aimait bien s'amuser, profitant pleinement du tmeps qu,elel apssait avec lui afin que dans sa mémoire ce souvenir lui reste gravé. D'ailleur elle avait dans sa poche une caméra photo, elle pourrait bel et bien en profiter une fois a l'intérieur de la boutique pour graver cet instant en image. Quelle génie, lorsqu'elle voulait, elle était brillante cette petite Darson.

Main dans la main, le jeune homme soupira en répliquant a nouveau une phrase qui la fit bien rire. Ainsi donc elle était une des seules capable de lui faire changer d'Avis, capable de faire des choses que habituellement il ne ferais pas. C'était pour la demoiselle une grande fierté que de pouvoir influencer son interlocuteur, une manipulatrice? Pas tout a fait, mais elle savait qu,elel était capable de tout pour avoir ce qu'elle désirait et qu'une fois de plus elle avait réussit.

-Hum...je sais, je suis terrible

Il était trop gentil, ça le perdrait, il le savait, mais que voulez-vous, il avait toujours eu du mal à ne pas craquer devant le regard pétillant et le sourire radieux d’une jeune fille lorsqu’on vient de satisfaire à l’un de ses désirs.
Oui, il avait du mal à ne pas céder à un caprice, tant que celui-ci ne lui portait pas préjudice, ne voulant pas se priver d’un sourire.
Bien sûr, il lui arrivait comme tout le monde de ne pas être d’assez bonne humeur que pour accéder aux requêtes de tous et toutes, mais aujourd’hui, il était plutôt en forme, il fallait bien l’admettre….
William était un jeune homme comme les autres, tantôt facile à vivre et tantôt difficile.

Malgré qu’il était plutôt bonne pâte, cela n’empêchait qu’il avait un caractère un peu particulier et que dès lors, avant de céder, il se permettait de jouer…
Rares sont les filles qui aimaient jouer autant que lui, peut-être n’en connaissait-il qu’une ou deux, pas plus, mais la miss en face de lui, toujours dans ses bras, était sans nulle doute sa meilleure partenaire.
Elle s’amusait autant que lui alors qu’il la mettait dans une fâcheuse posture, étonnant…d’ailleurs, il aurait presque été tenté de l’y mener tout de même, juste pour le plaisir de voir la tête qu’elle ferait…Mais, ce n’était pas son genre…
IL était plutôt du genre à penser que les plaisanteries les plus courtes sont les meilleures….

Il pouvait être très déconcertant de se frotter à un jeune homme comme William.
Il donnait cette impression d’être bon comme le pain, il donne tout en une fois sans retenue et sans réfléchir aux conséquences, mais s’il est déçu, il peut se montrer très virulant et particulièrement vénéneux dans ses propos…

Une chose est sûre c’est que sa connaissance de la langue française et ce langage quelque peu soutenu dont il usait à ses heures, souvent lorsqu’il jouait, avait l’air d’amuser la petite blonde autant que cela ne la touchait.
En effet, alors qu’il faisait une allusion à cette première soirée, complètement fortuite, qu’ils avaient passé ensemble pour Noel, et à ce qu’elle avait pris pour un compliment mais qui n’en était pas un, il vit sur son visage s’afficher toute la lumière dont il la savait capable lorsqu’elle souriait.

Sans doute était-ce sourire qui lui avait donner l’envie de lui faire plaisir…..

Apparemment son sourire était sans doute né parce qu’elle avait été touchée par les propos qu’il lui tenait car elle le compara à un poête.
Lui, ne pensait pas qu’il ait quoique ce soit d’un poête.
Bien entendu, c’est vrai qu’il écrivait énormément, chaque soir d’ailleurs, à son père…
En fait, la où les filles rédigent un journal intime, on ne pouvait pas considérer que ses lettres en était un.
Elles étaient présentées sous forme de prose ou de poême, en fonction des heures et de ses humeurs, mais il n’y relatait pas pour autant tout ce qu’il y avait fait sur une journée.
Non, au contraire, il se servait de ce qu’il avait ressenti sur ces journées pour écrire mais jamais il ne lui raconterait qu’il avait failli mener une douce jeune fille dans une boutique de lingerie….

Néanmoins, lorsqu’elle posa cette question qui l’avait amusé et qu’il avait pris comme une sorte de flatterie exagérée pour obtenir ce qu’elle voulait suivie d’une ultime tentative de se voir redéposée à terre et William, les minutes suivantes, avec un complet sur le dos…

Il lui rendit son sourire avec la même expression qu’elle avait sur son visage et il lui dit :

« Poête ? il me faudrait ma muse à demeure…..et sachez que vous ne pourriez punir le diable plus qu’en lui faisait essayer des vêtements…Bien que je serais curieux de savoir ce que vous pourriez inventer de pire…. »

Il avait la réplique facile.
D’ailleurs, sa mere lui faisait souvent remarqué qu’il avait toujours une pièce à mettre au trou, un petit mot à ajouter….toujours…

Comme il le lui avait conseillé, elle lui fit une proposition, et il se décida à la redéposer…
Apparemment, elle était ravie qu’il accepte de l’emmener au restaurant, et qu’il l’inviterait parce qu’elle l’embrasser avec délicatesse..bien que ce baiser ressemblait plus à un baiser volé…..
Il fallait d’ailleurs admettre qu’il laissa au jeune homme un sérieux gout de trop peu.

C’est la suite de son discours qui fit rire le jeune homme qui apparemment n’avait plus le droit de la soulever comme il venait de le faire…
IL se contenta d’hausser un sourire comme pour la satisfaire mais il avait dans le fond de ses yeux bleu une lueur qui annonçait tout à fait le contraire…….
Il avait tout de même décidé de lui faire plaisir et il ne fut pas déçu en voyant cette expression de ravissement sur son visage qui la rendait plus belle encore.
Le sourire est le plus beau masque qui soit, surtout lorsqu’il est porté par une si ravissante demoiselle….
Son empressement fallait aussi la peine, s’il avait voulu changer d’avis, il n’aurait plus oser.
Elle était aussi excitée qu’une petite fille à qui l’on vient d’offrir une nouvelle poupée…

Il eut comme une drôle d’idée en tête.
Il devait se méfier avec elle, car il avait le sentiment qu’il deviendrait vite son jouet, s’il ne l’était pas déjà….
Pour le moment, cela ne le dérangeait pas.
William était plutôt du genre à ne s’opposer à aucune manipulation tant qu’il y trouvait son compte mais le jour où il ne se sentait plus à l’aise dans cette situation, les choses pouvaient rapidement changer…
A elle d’apprendre à doser son caractère…si elle ne voulait pas froisser le jeune homme…

Elle usa encore une fois le ton de la plaisanterie et il ne savait pas pourquoi, il regrettait déjà ses paroles.
Et il se pinça les lèvres en l’entendant, se passant la main sur le front et soufflant, comme s’il se désespérait lui même….

« Eh bien, la est tout le problème jeune fille » rétorqua-t-il lorsqu’elle lui demanda de lui communiquer la taille exacte, pour gagner du temps

« Je n’en sais absolument rien………alors, évite de me faire peur si tu ne veux pas que je change d’avis….. »

ce fut la réponse à son petit air menaçant……..
Mais il fut bien amusé de l’entendre se satisfaire, parlant d’elle comme quelqu’un de terrible…
Alors qu’il la tenait toujours par la main, il ajouta :

« Et c’est rien de le dire….allez….ne marchons pas trop vite, on ne sait jamais que ce soit fermé en arrivant…..je serais tellement déçu… » Dit-il une grande teinte d’ironie dans la voix avant de s’arrêter, la stoppant alors dans son élan lui demandant d’attendre.
Il se mit alors devant elle pour lui offrir un tendre mais discret baiser.
Il n’avait jamais aimer les démonstrations passionnées en public, mais un petit baiser, il n’y avait rien de mal à cela….et il en avait tellement envie….

Toujours en jouant sur les mots, la Darson et le Carlton se mirent a jouer ensembles, se donnant leur propres personnages, l'un l'ange et l'autre le diable. Aussi amusant que pouvait etre Liam, Haylie savait tres bien que ces belles aproles prenderons fin un jour pour revenir a queqlue chose de plus sérieux. Pour elle il ne pourrait rien avoir de mieux que de parler sans cesse de cette maniere, la poussant a develloper un language plus agérable, un langage plus distingué digne des personnes dans le XVIII siecle. une époque qui faisait bien rever la jeune femme, d'ailelur un de ses plus beaux reves restait de tourner un film historique pouvant se permettre de prendre en mains quelques manieres maintenant oubliées.

Enfin il continua a parler de la meme maniere ce qui fit davantage sourire la jeune blonde. Il persistait a se donner l'image d 'etre une créature malveillante, bien entendu selon elle, il ferait un tres bon poete mais il jugea d avoir a sa demure une muse. Bien évidamment cela était d une logique irréprochable mais aux yeux d'Haylie, il suffisait pour le poete un simple moment pour se montrer inspiré. Enfin chaques personnes étaient différentes et ni elle ni personne ne pourra changer la mentalité des gens.

Tout de meme pour William c'était d une véritable torture que de devoir essayer des vetements. Trouvant une pointe d'exagération dans ses propos, la demoiselle se mit a secouer de la tete. Bien entendu qu'il existait pire, il existait le fait qu,ele le fasse se balader en calecon dans un parc. D'ailleur la demoiselle s'imagina la scene et se mit a rire seule, puis elle reprit un air sérieux a ce jeu avant de s,imaginer d autres scenes du genre a devoir vendre des hots dogs en costume de hot dog. Cette pensée et davantage plus amusante que la derniere. Enfin elle n'hésitera pas a démontrer ses idées au jeune homme pour lui prouver qu'il n y avait rien de méchant dans le fait d essayer un complet chic et traditionnel.

Non il devait avoir une bien mauvaise image de ces cabines d essayages le pauvre, pour la demoiselle, il ne pouvait pas avoir meiux dans une boutique mise a part les soldes bien entendu. Si elle n'aimait pas un morceau sur elle, la jeune femme n'aurait qu'a se débarasser du chadail ou encore du pantalon, elle se sentira plus confortables dans quelques uns et dans d autres elle se sentira mal a l'aise. Il fallait imaginer toutes ces circonstances a la maison, elle aurait dépenser une véritable fortune et devra tout rapporter au magasin? Non, le mieux était d en avoir le coeur net tout de suite.

-Et bien....il ne faut pas me sous estimer petit diable, que diriez vous de devoir vendre des pretzels dans un costume de pretzel? Moi je mourrerais d envie d'avoir l'ocassion de voir cela pas vous? Je crois tout de meme que vous maitrisez tres bien l'art de la poésie jeune homme.

Puis il se décida a la redeposer au sol, enfin il était temps, enfin pour la jeune femme qui n aimait pas du tout de se retrouver dans les airs, ne sentant pas l'équilibre parfait. Puis elle lui donna un bref baiser qui ni un ni l'autre ne prit le temps de gouter puisqu'il était trop court pour ca. Quant a sa petite menace concernant le fait qu'il la souleve a nouveau, le jeune Carlton se mit a rire...Ce fut assez vexant pour la demoiselle qui n'avait pas l'habitude de faire trainer dans les airs. Non ce n'était pas marrant et elle ne se genera pas pour lui faire savoir.

-Non mais ca te fait rire? Je suis appeurée, et toi tu trouve ca drole? Mais je suis tres tres sérieuse moi, je veux pas me faire soulever comme ca ca fait peur Fit elle en plasantant encore un peu tout en parlant.

Puis tout deux en se moquant du fait que le jeune Carlton cede a l'isée de voir essayer des vetements dans une boutique, ils accentuerent sur la taille. Oui parce que sachant tres bien que le jeune homme n'était tellement du genre a devenir mannequin et a faire des défilés de modes, elle devra se limiter dans ses choix. Il lui dit qu'il ignorait la taille exacte, ce détail fit davantage rire la demoiselle qui mit une main devant sa bouche pour donner un air poli.

-Mais tu sais que tu n est pas possible toi? Alors....moi je suis pas medium je ne devine pas...tu verras...on va finir par trouver ta taille

Certe il lui avait dit d'éviter de lui faire peur pour ne pas le faire changer d'avis mais dans le fond la jeune femme savait bien qu'il ne sera pas capable du lui dire non a présent. On ne peut aps enlever une sucette a une filette apres lui avoir donné, c était la meme chose avec la jeune actrice.

Sentant toujours la main du jeune individu, celui-ci répliqua a ses propos quand elle s'identifia comme étant une personne terrible. Apprament en utilisant le rire, celui-ci avait sortit la phrase la plus pathétique qu il ne soit, elle savait bien qu il n aimait pas cette boutique mais ce n était pas une raison pour éviter d y aller.

-Mais oui, je sais, justement raison de plus pour se hater a y aller, je ne veux pas raté ca pour rien au monde.

Rallentissant tout d abord le pas de marche, il finit par se stopper et l'indissant de faire un aps de plus. La tournant vers lui, il approcha son visage du sien et il l'embrassa tendrement. Haylie avait espérée toute la soirée d avoir droit a un baiser de ce charmant brun, cette fois ca-y est elle l'avait. Consciente que cela la ferait perdre du temps pour ce qui est de la boutique, cela ne l'empecha aps de prolonger ce baiser, placant ses deux mains dans la nuque du jeune homme

Bon, il fallait bien admettre qu’elle n’avait pas réellement tort.
Il y avait pire qu’essayer des vêtements, et puis cela pouvait être drôle après tout, et puis, si cela pouvait lui faire plaisir….
Il dut acquiescer d’un signe de tête et admettre bon gré mal gré qu’elle a plutôt raison.
Peut-être qu’en plus de son sourire pétillant et de cette lueur qu’elle avait au fond des yeux, cette petite remarque et ses exemples suffirent à le convaincre sans doute, même s’il ne le dirait pas de suite….

Il fit une grimace avant d’enfin lancer :

« Mouais…j’admets que tu as raison….. »

Il s’était donc décidé à la redéposer au sol et même si elle avait gardé le ton de la plaisanterie, il avait l’impression qu’au fond elle était sérieuse lorsqu’elle l’informait qu’elle n’aimait pas trop se retrouver dans cette posture…
Il fronça un sourcil et son air devint un peu plus sérieux, elle ne lui faisait donc pas confiance. ?
Bon d’accord, c’est vrai qu’elle ne le connaissait pas beaucoup, c’était le deuxième moment qu’il passait ensemble, il n’y avait donc la aucune matière à offrir une confiance infinie mais tout de même, il n’aurait pas pris le risque de la faire tomber, la soirée venait à peine de commencer et il s’amusait plutôt bien, il n’y avait donc aucune raison qu’il gâche cet instant en prenant le risque de la laisser choir.

Il lui sourit alors et hocha de la tête, lui lançant gentiment, et toujours sur la plaisanterie :

« Comme tu veux, j’éviterai de te soulever, je te chatouillerai à la place…… »

Et un clin d’œil suivit ses quelques mots.
Une fois de plus elle se moquait de lui. IL n’était pas du genre à essayer des vêtements.
Non, il n’aimait pas trop ça, il faisait toujours trop chaud dans les cabines d’essayage, et puis…
Non, il évitait ce genre d’endroit mais ce n’était pas de sa faute….
Alors qu’elle riait ouvertement de lui, elle eut tout de même la délicatesse de mettre sa main devant sa bouche, histoire qu’il ne le prenne pas mal.
IL prit une mine faussement vexée, l’air sombre et il ajouta :

« Mademoiselle, je tiens à vous préciser que je connais peu de garçon qui accepterait pareille idée, alors, si tu te moques de moi…..gare à toi….je pourrais me venger….d’autant plus que ta dernière phrase me fait peur d’un coup….ca veut dire que je vais devoir en essayer plusieurs ça, je le sens… »

Alors que lui, plaisantait très ironiquement, la jeune fille n’avait plus l’air de plaisanter des masses, apparemment, elle y tenait apparemment…

« Oh j’ai bien compris que tu y tenais, et rassure toi, je vais m’appliquer à me montrer le plus souriant si tu arrives à me faire y prendre goût. …..tu seras, en plus d’être privilégiée, complètement unique…….encore plus que tu ne l’es déjà…. »

Il n’avait pas parlé sur le ton d’un compliment, chaque être était unique et original à sa façon mais, si elle arrivait à lui donner l’envie de faire les boutiques un peu pour lui, elle serait réellement très forte.

IL fut alors prit d’une soudaine envie de l’embrasser.
Comme un besoin vitale au bon déroulement de la soirée qui ne faisait que commencer, c’était étrange.
Elle était loin d’être finie, mais il avait déjà peur de la laisser partir, il lui tenait la main comme si elle avait peur qu’elle ne s’envole.
Il la regardait lui parler et rire à souhait à l’idée de l’emmener dans cette boutique et elle lui paraissait si fraîche et si naturelle, or, elle n’avait pas du tout le profil..
Elle avait tout des filles que l’on pouvait qualifier de superficielle mais, il ne savait pour quelle raison, lorsqu’il était avec elle, elle donnait l’impression d’être la fille la plus simple et la plus naturelle qu’il soit.
Spontanée, pétillante, souriante, une jeune fille n’ayant pas vingt ans et qui croquait la vie à pleins dents…

En sa compagnie, tout ce qui pouvait le tracasser ou le révolter disparaissait..
C’est un peu pour tout ça qu’il eut envie de l’embrasser et qu’il s’exécuta.
Pour son plus grand plaisir, elle prolongea ce baiser, glissant ses mains dans la nuque du jeune homme, qui avait refermé les siennes autour de la taille de la jeune fille.
Taille qu’elle avait bien fine d’ailleurs.
Les yeux fermés, il profitait de cet instant de pure plaisir, sachant que ce moment prendrait fin dans peut de temps.
Il interrompit ces minutes d’enchantement, un peu à contre cœur, et la gardant tout contre lui, il lui offrit trois autres petits baisers avant de lui sourire et de lui chuchoter, sans s’être éloigné d’elle et de son visage :

« On ferait pas mal d’y aller…..ou ca va vraiment fermé….. »

Il lui sourit alors, et reprit le chemin avec elle pour arriver devant la boutique.
Il prit la parole avant d’entrer, croyant déjà la sentir toute alerte à ses côtés..

« Bon….. » dit-il face à la vitrine « Tu as choisi lequel dis moi ? »

Et il tourna la tête vers la jeune fille attendant de voir ce qu’il lui réservait.
Si il n’aimait pas, il ne manquerait pas de lui dire, mais il ne doutait pas une seule seconde de son bon goût tant elle était toujours joliment habillée, ou du moins, pour le peu qu’il l’avait vue jusqu’à présent.
Non, il ne doutait pas qu’elle ferait de bon choix, il espérait juste que cela ne s’éterniserait pas trop…..
Il souhaitait partager avec un autre moment privilégié, une rencontre qui la suprendrait peut-être ou non, selon qu’elle aime ou non…..

Haylie ne fut pas surprise de voir le jeune Carlton exercer une autre de ses grimaces amusantes. Aparament ce qu'elle venait de dire était pire que ce qu'elle lui demandait de fiare a la base. Tout comme la premiere fois ou la belle eut droit a une de ces grimaces, elle se mit a rire de bon cooeur. Il fallait vriament qu'il crispe son visage pour place a une petite langue sortie démontrant parfaitement qu'il n'était pas friand de ses nouvelles idées. En fait il avait raison de céder a cette boutique puisque s'il ne le ferais pas, non seulement la petite Darson serait vexée mais elle lui préparerait le pire. Il sortit alors de sa bouche une phrase qui la fit bien sourire, tout ce qu'elle désirait entendre...<tu as raison >. Cette fois la jeune femme leva davantage la tete tout en se mettant sur la pointe des pieds pour arriver a la hauteur exacte du monsieur, elle avait beau etre grande cela n'empecha pas le fait que Liam la dépassait.

-Voila qui est mieux, quoique cette scene aurait un vrai régal pour moi et pour ma caméra.

Parlant de caméra, elle venait tout juste de lui dévoiler ses intentions concernant le complet. Si il cédait a l'idée de se vetir d'un style propre et chic, elle ne garderait pas cela rien que pour elle, non la petite blonde avait déja plusieurs idées en tete, utilisant peut etre le meme fonctionnement qu'elle venait d utiliser pour obtenir ce qu elle désirait. Subtillement la demoiselle, apres avoir gagné le sol, leva les yeux vers le ciel voulant attirer l'attention du Shakespearien pour ne pas qu'il s'en prenne a son appareil phto digital. Elle aurait bien pu ajouter queqlue chose, en prétextant qu'il n y ait un bel oiseau dans les parrages mais elle jugea que cela était davantage plus subtile que si elle ne disait rien.

Puis lui faissant un énorme sermont pour le simple geste que de la soulever, le jeune homme lui promis dene plus jamais la prendre ainsi dans les bras mais plutot de la chatouiller. Étant une grande chatouilleuse la jeune femme eut comme réflexe que de mettre ses mains sur sa taille ayant tout de meme la main de William dans la sienne. La jeune femme fit de grands yeux tres expressifs démontrant qu'il n avait nul le droit de faire une chose pareille

-Ah non! Pas de chatouillage, tu n'oses meme pas hein? Je sias que tu es capable, ca je le sais pas la peine de testerfit elle en tentant de reculer, mais étant enroulée dans les bras du jeune homme, il était un peu difficile de s en sortir. Elle abandonna l'idée de se dégager et resta a l'observer sans bouger.

Puis elle s'était mise a se moquer de lui parce qu'il ne connaissait pas la taille exacte qu'il portait. Par cette simple constatation, la demoiselle put en déduire qu'il avait bien raison de ne pas aimer magasiner puisqu'il ne semblait faire les boutiques a tout les jours ce qui devenait probablement a ses yeux un fardeau a chaques fois qu il se était confronté a acheter des vetements pour une soirée. Une idée plutot amusante, il fallait faire sortir ce petit etre privé des plasirs du shopping alors, ca devait faire des siecles qui'il devait porter la meme chose, un peu de rafraichissment a sa garde robe ne lui fera certainement pas du mal.

Puis il lui parla du fait que peu de garcons seraient prets a faire les boutqiues, il avait raison certe mais selon elle le jeune Carlton était différent, il avait été différent lors de la premiere approche, il avait accepter de danser un tango et en plus de cela il avait décidé de la suivre dans sa folie. Pour tout dire le jeune homme était loin d'etre un jeune homme banal qui ne font que se préocuper de sa popularité aupres de filles. Ajoutant a ses propos le mot vengeance, le demoiselle ne put s'empecher d afficher un sourire ironique, elle se mit a lui pincer la joue tout en répondant au jeune monsieur.

-Oh pauvre petit...d'ici peu on retrouvera dans les journaux, William Carlton, l'homme martyre, cause de son martyre? Il du faire les boutiques avec une fille. Tu parles de vengeance? Reste ranquille petit Carlton, tout doux, tout tranquille. Fit elle en se doutant que le jeune homme n'hésitera pas a se venger soit en la prenant a nouveau et en la soulevant ou encore en la chatouillant. Le probleme de la demoiselle était peut etre qu'elle exposait trop rapidement ses points faibles aux autres.

Parlant du fait qu'il s'il prenait gout en essayant ces vetements, elle sera considérée comme unqiue a ses yeux. Se croyant déja unique la demoiselle en resta perplexe mais voyant de la maniere que le jeune homme utilisa le ton, elle en déduit qu'il voulait dire qu,elle serait vriament incroyable de lui faire changer d avis sur le fait d'essayer des vetements dans une boutique. N'ajoutant rien a ses propos la jeune Wealsey se contenta d acquieser de la tete avant de lui souffler un simple merci.

Soudainement épise des levres de Lima, elle ne put s empecher d'en prolonger le baiser. Pourquoi? Tout simplement parce que les courts moments passés en sa compagnie ou bien les moments passés a l'embrasser, la demoiselle avait ressentit une sorte de désir, et le simple fait de le regarder dans les yeux était pour elle une tentation pour ne pas plonger ses levres dans les siennes. Prenant pleinement le temps de lui caresser la nuque a laide des petits doigts effilés, elle savait bien qu au fond cet instant ne durera pas. Cela ne durera pas parce que déja qu'il y avait des tonnes de passants dans la rues et que certains plus pressés que d'autres ne prenaient meme aps la peine de les contourner et les accrochait légerement. Puis il y avait aussi le fait qu'elle veuille vraiment aller a cette boutqiue et que cet endroit ne sera pas ouvert jusqu a l'aube.

Elle eut tout de meme le droit a trois baisers volés sur ses levres ainsi qu un sourire ravageur de la part du jeune homme. En plus de cela il utilisa une phrase qui la surpris. Elle savait qu il détestait faire les boutqiues et pourtant il lui dit qu'ils feraient mieux de se mettre route s'ils ne voulaient pas louper leur chance. Toujours main dans la main les deux jeune gens se rendirent pres du Chateau, un magasin étant fait rien que pour les grandes soirées. Ayant le nez presque collée a la vitrine, la demoiselle pointa au jeune homme un mannequin de plastique. Le mannequin était vetu d'une chemise bleu clair a peine lignée de de la meme couleur mais dans une teinte plus foncée. Il y avait une cravate bleu nuit et apr dessus la chemise un magnifique veston avec des manches retroussées laissant place a la découverte de la chemise qu'il y avait de palcé dessous. Un pantalon classique était de la couleur que le veston, c'est a dire noir, un noir total mais qui était donnait un style a en couper le souffle.

-Maintenant c est l'heure de rentrer dans cette boutique et de demander a la caissiere de nous sortir l'ensemble de la vitrine...aller le mannequin va accomplir ta tache Fit elle en lui déposant encore une fois un baiser rapide sur ses levres avant de le trainer vers l'intérieur

Elle était bien une fille.
Elle ne pouvait résister lorsqu'un jeune homme leur assurait qu’elles avaient raison en usant de ces mots, ce qui restait tout à fait compréhensible en fait.
Les hommes ont cette tendance à ne jamais admettre leur tort, c’est pour eux, une façon de ne pas à assumer leur responsabilité lorsque, bien entendu celle-ci est engagée, ce qui est rare…bien évidemment.
William, n’était pas très différent des autres à ce sujet la, il aimait comme tout le monde avoir raison et même s’il était bon comme le pain, il tenait à sa fierté et à son amour propre peut-être un peu trop, comme tout le monde sans doute.
Prenons par exemple le cas de Pri’, malgré cette soirée durant l’été, et bien qu’il avait envie de la revoir, il n’a nullement fait de gestes vers elle.
Pourtant, son père, dans son enfance, lui avait appris que si l’on savait pertinemment que l’on n’avait tort, l’admettre était aussi une façon de préserver son amour-propre.
Il est préférable d’être honnête que de mauvaise foi non ?
Si bien que tout petit déjà, lorsqu’il lui arrivait de faire des bêtises, et croyez-moi, cela pleuvait, il n’avait jamais hésité à avouer, admettre, se dénoncer, fier comme un paon, comme s’il n’était nullement honteux.
Il ne mentait que très peu……bien qu’on ne sait de quoi demain sera fait….et que le mensonge est le propre de l'homme, il arrive à tous d'user de cette ruse, afin de se sortir d'un mauvais pas.
Dès lors, il ne fut pas surpris de la voir se redresser lorsqu’il utilisa les mots que toutes aiment entendre « Tu as raison…. »
Il esquissa un sourire en coin s’attendant que trop à ce genre d’attitude, mais celui-ci disparu lorsqu’elle lui parla de caméra…..
EUH…non….la, il trouvait la situation beaucoup moins drôle, mais alors, beaucoup beaucoup beaucoup moins drôle mais il ne se laisserait pas faire.
Pourtant, il était sûr qu’elle lui préparait quelque chose et à vrai dire, il aurait même pu détailler son plan, son petit air d’arsouille les yeux au ciel, pour faire diverssion.
Elle le prenait vraiment pour un imbécile….
Mais, comme je l’ai dit tout à l’heure, il se vengerait.
Apparemment, il ne pouvait pas la soulever, il ne pouvait pas la chatouiller…….que pouvait-il donc faire a part l’embrasser ?
Toujours dans ses bras, elle précisa qu’elle le savait tout à fait capable de le faire mais qu’elle ne voulait pas qu’il teste.
Il la sentait moins à l’aise tout à coup, s’il l’avait lâcher, elle aurait sûrement filer un bon mètre loin de lui.
Lui, il rétorqua prit par une folle réflexion :

« Donc, si j’ai bien compris, je n’ai pas le droit de te soulever, pas le droit de te chatouiller……je dois accepter que tu te moques de moi…A mieux y réfléchir, je crois que JE suis un ange, et que TU es un véritable petit diable…. »

il s’approcha alors de son oreille pour lui susurrer qu’elle ferait mieux de se méfier de l’eau qui dort, un chuchotis dans un souffle chaud qu’il avait voulu suave dans l’intonation.
Mais la jeune fille était incorrigible et elle se moquait toujours de lui, sans doute parce qu’il ne connaissait pas sa taille exacte, en fait, il y avait une explication toute simple mais avant de lui donner, il allait la taquiner un peu à son tour:

« Ben, tu rigoles, mais j’ai une bonne excuse…Je connais pas ma taille parce que c’est mon ex-copine qui comme toi, insistait pour m’emmener faire les boutiques….Sur tout le temps qu’on a passé ensemble, je ne me rappelle pas avoir essayer de vêtements dans une cabine d’essayage….Elle connaissait ma taille, mais si tu veux, je peux lui sonner, elle se fera un plaisir de te renseigner…… »

Ce n’était pas réellement faux, il faisait toujours les magasins avec son ex-petite amie, avec qui il était tout de même resté une année entière, et qui avait rompu un peu avant l’été…
En fait, quelque jours avant sa rencontre avec Presea, il ne s’entendait plus et lui, ne se sentait plus vibrer sous ses regards et ne se sentait plus touché par sa fragilité…..
En bref, il n’était plus amoureux d’elle, tout simplement, il finissait par passer plus de temps à se disputer et se réconcilier plutôt qu’à s’aimer.
Autant lorsqu’il parlait de son père, il pouvait être mélancolique de son passé, autant, repenser à la jeune fille en question ne le gênait plus du tout.
Même si cela avait été difficile au début, les habitudes étant bien installées, il s’était très vite senti bien mieux, se rendant compte que cette rupture avait été la meilleure solution pour tous les deux.

Il n’avait plus de nouvelles d’elle depuis des mois, depuis qu’une âme charitable lui avait parlé de Presea, et il ne s’en portait ni moins bien ni mieux.
Il n’avait pas quitté du regard sa partenaire et il continua :

« Oh, mais non, c’est une blague, je n’ai plus de contact avec elle, on s’est quitté en mauvais terme….. »

Pas la peine de lui dire, je te raconterai un jour, il savait que cela arriverait, dans tous les couples à un moment ou un autre, on finit par discuter des ex copains, des ex copines, des histoires précédentes….
C’était des conversations qui pouvaient faire mal si l’on est un tant soi peu jaloux mais dans le fond, elle semblait nécessaire à la viabilité d’un couple.
IL savait donc qu’un jour ou l’autre, elle chercherait à en savoir plus sur ses conquêtes, tout comme lui, et dans un moment d’intimité, ils en discuteraient, échangeant leurs souvenirs…bons comme mauvais.

Enfin, cela n’enlevait rien au fait qu’il n’était pas motivé à l’idée d’essayer mils costumes et que la jeune fille tenait un discours un tant soit peu différent par rapport à ses envies et qu’il se préparerait déjà une vengeance si elle abusait en « essayage » et pire encore, s’il avait bien compris son allusion avec son appareil photo.
D’ailleurs, il ne se contentait pas de faire allusion à cette vengeance, il l’avait prevenue et dans toute l’ironie qui lui était possible, elle pinça sa joue en se moquant toujours de lui et , s’il avait bon caractère et qu’il était plutôt patient, s’il avait trouvé la référence au journal assez amusante, il n’aimait pas spécialement le reste du discours.
Voyons, « tout doux, tout tranquille » , c’est un peu ce qu’il serait tenté de dire à ses perroquets, lorsque ceux-ci sont difficiles….
Il n’était ni un perroquet, ni un enfant qui fait caprice.
Non, au niveau caprice, elle n’avait rien à lui envier.
Il la regardait du coin de l’œil, haussant les sourcils, un peu vexé par sa dernière remarque, alors, il lui rétorqua sur le ton de la plaisanterie, laissant tout de même un message qu’elle jugeait bon de lui faire passer si elle souhaitait conserver la bonne humeur et la bonne entente qu’il y avait entre eux jusqu’alors.

« Oui, il va rester tranquille mais, la Darson, comme tu dis, va faire attention à ce qu’elle dit, si elle ne veut pas vexer son acolyte…..ce serait facheux…..qu’elle n’oublie pas que je suis ici, et que j’ai accepté parce que je le voulais avant toute chose….non pas parce que j’ai une laisse au cou…. »

C’est pour éviter ce qui aurait pu ressembler à un semblant de discussion houleuse, alors qu’il détestait cela et qu’au fond il n’y avait pas de raison à cela, qu’il lui dit qu’elle serait parfaitement unique, au du moins, plus qu’elle ne l’était..
Unique, à ses yeux surtout, puisque ni sa mère ni ses ex copines, n’avaient réussi cet exploit qui pourtant semblait des plus banals pour tous mais qui énervait le jeune homme.
Oui, c’était sans doute pour garder dans cette conversation le ton de la plaisanterie, tout en lui adressant un sincère compliment après une mise en garde lancée dans un message tout aussi diplomate.
Elle le remercia, elle avait sans doute compris le sens de sa phrase, et c’est ainsi qu’il finit par lui sourire et qu’il l’embrassa.
Durant ce baiser, elle avait caressé la nuque du jeune homme qui à cet instant précis, aurait pu donner n’importe quoi pour être ailleurs, dans un endroit plus intime, où il aurait pu continuer à profiter de ce baiser, goûter encore à ses lèvres et pourvoir la garder au creux de ses bras des heures durant, se perdre dans le brun de ses yeux……
Mais, il revint bien vite à la réalité, ils étaient au milieu de la foule de gens qui font leur dernier achat de noel, et même si peu avait l’air de se soucier d’eux, ils étaient tout sauf dans l’intimité.
Dès lors, c’est après lui avoir volé quelques autres subtils baisers qu’il aurait sincèrement aimer appronfondir que de lui même, il avait incité la jeune fille à filer dans cette boutique.
IL y avait une raison à cette requête, la première était sa façon de lui montrer qu’il n’était jamais vexé très longtemps, et esperait qu’elle ne l’était non plus, par rapport à son message qu’il lui avait lancé sur un ton extrêmement sympathique, et l’autre était pour ne pas qu’elle croit qu’il se servait de ce baiser pour éviter de lui faire plaisir…

Et c’est ainsi qu’ils se retrouvèrent devant la boutique où elle pointa du doigt un costume noir par dessus une chemise bleu ciel à ligne bleu nuit, en fait, ce costume était plutôt pas mal….
Il était déjà rassuré….
Mais par contre, la cravate, si elle pouvait éviter, ce serait sympa….
Par contre, il avala de travers en l’entendant parler de l’ensemble de la vitrine….

« Quoi ? » avait-il lançé en toussotant « Tu plaisantes ? » juste avant qu’elle dépose encore un rapide baiser sur ses lèvres avant de le trainer à l’intérieur….
IL se mit alors à chuchoter comme si personne ne pouvait l’entendre :

« Haylie, je veux bien en essayer un voir deux mais pas toute la vitrine…..je plaisante pas…. »

Et c’est vrai qu’il ne plaisantait pas….

« Il fait beau en plus dehors pour l’époque, on pourrait faire pleins d’autres chose, je sais pas moi….euh….. »

Il avait beau réfléchir mais le temps qu’il prenne la parole, la vendeuse était déjà la :

« Bonjour, je peux vous aider peut-être ? »

Le fait que la demoiselle leve la tete haute et fiere pour démontrer sa grandeur au jeune homme, celui-ci esquissa un sourire en coin, prévoyant probablement la réaction de la jeune fille. De toute maniere qui n'Aimait pas qu'on lui donne raison? Probablement personne... La petite blonde avait a son tour dévoilé un large sourire tandis que le jeune homme modifia l'expression de son visage vis a vis la caméra. On aurait dit qu'il venait de voir un fantome soudainement, un autre amusement pour la jeune femme qui appréciait beaucoup le coté expressif du Shakespearien.

Comment ne pas aimer? Il révélait dans ses simples yeux, ses véritables intentions, un homme honnete, de toute maniere il avait beau vouloir mentir, le bleu de ses yeux le trahirait. Non pas que c'était nécessairement mauvais d'etre naturel mais au moin tout le monde pouvait savoir ce qu,il ressentait. Il en était de meme pour la demoiselle qui pour la plupart du temps ne se genait pas pour démontrer ses idées, voir meme parfois jusqu'a choquer ses interlocuteurs pour avoir oser parler d'une chose parfois trop personnelle ou autre chose du genre.

Pour ce qui est de la caméra, la jeune femme su alors qu'il détestait cet engin. Pourquoi? La était une grande question, chaques passants regardaient cet appareil comme étant la peste, se camoufflants a l'aide de leur main ou bien en fuyant la présence de la demoiselle. Pourtant des années plutard, tous s'en voudrons de ne rien avoir comme souvenir de leur passé. La photographie n'a rien d un crime, il s'Agissait la d'un excellent moyen de se divertir, de prendre en cliché tout ce petit vécu qu'il semblait si banal.

Le voyant prendre un petit air songeur, la demoiselle se mit a le fixer, se demandant bien ce qu'elle avait pu dire pour qu'il se mette a réfléchir autant. Il se mit a nommer des faits, puis il modifia sa phrase touchante d'il y a quelques instants, la comparant au diable lui meme.Il s'était enfin rendu a l'évidence que la petite Darson était dotée de tas de caprices et que lui en bon citoyen s'était dit de les endurer. Tres patient, ce petit Carlton, oh que oui, d'ailleur la jeune femme ignorait de ou venait toute cette bonté, il ne lui avait jamais exposé d'injures ou encore forcer une idée, tout a l'heure ce n'était qu'un jeu, rien de tellement sérieux, tout deux en tenant leur bout chacun de leur coté. Tout de meme en le voyant céder a l'idée d'aller essayer des vetements était d autant plus réjouissant pour la demoiselle qui considéra cela comme étant une victoire.

-Tu as tout compris mon cher! Je te remercie de respecter mes regles d'or! Et puis tu as raison, je suis plus le diable que tu ne l es, mais il n y a aucun mal a ce que l'ange soit sous l'emprise du diable , a moin qu'il ne veuillent plus l'obeir comme il le fait si bien depuis le début de la soirée.

Et voila, la jeune femme venait de se faire a l'idée d'avoir inversé leur role. Le souffle sortit de sa bouche vint chatouiller le creux des oreilles de la jeune Darson en meme temps que les paroles amusantes du jeune homme. Bien entendu, elle ne put s'empecher de se moquer de lui, parce que selon elle, tout le monde savait sa taille, ou bien devinait ou encore sortait une pointe qui s'y ressemblait sans pour autant en etre l'exactitude.

Sortant une excuse qui agaca la jeune femme, Haylie deumeurait muette et attentive a ses propos. Son ex copine? Naturellement, étant un jeune homme ravissant et doté d'une langue francaise plus riche que celle des proffesseurs a son lycée, il était tout a fait normal qu'il y ait eu d'Autre filles. Toutefois cela n'empecha pas le fait qu'il y ait eu soudainement une pointe de jalousie qui venait de naitre.Elle se demandait comment son ancienne copine était et comment elle faisait pour trouver la taille du jeune homme sans qu'il ne lui ait glisser la réponse.

-Quoi? Mais non! Pas la peine de l'appeller pour ca! Non si elle a réussit a le savoir moi aussi!

Il n'était pas question pour la jeune actrice de ravaller sa fierté devant ce monsieur. Bien qu'elle ne saches pas la taille du jeune homme, la jeune blonde n'avait pas envie de baisser les bras prenant cette révélation comme étant un défi. Puis le jeune Carlton enchaina en se mettant a rigoler, Haylie était restée sérieuse, ne trouvant pas cette blague tout a fait amusante, cela probablement du au fait qu'il ait mentionné son récit avec sa copine. Ce fut tout de meme de bon coeur que la belle se décida a y laisser un petit rire, pas tres gai a la base juste assez pour montrer au joli brun qu'il était pathétique amusant dans ses propos.

Prenant cela comme étant une compétition, la jeune femme aurait été portée a lui parler de ses ex eptits amis pour lui montrer qu'elle aussi avait passée des moments similaires avec d autres personnes et qu,elel avait vécu des temps agréables avec eux, par contre elle jugea que ce n,était pas tres raisonnable de partager de telles choses avec Liam alors qu'ils étaient tout deux présentement entrain de vivre les évenements, ca serait considéré probablement comme étant de l'égoisme de la part de la demosielle que de ne regarder que elle dans l'histoire et no nlui. Enfin elle en resta muette, c'était probablement mieux et puis elle s'était dite de ne pas jouer les les mauvaises langues et raconter sa vie a tout le monde, ca ne les regardait pas comme leur vie ne la regardait pas non plus. Ayant cette pensée en tete, Haylie ne pouvait que mieux se porter.

En parlant du fait qu'il ait a faire queqlues essais en cabines, la jeune femme avait fait référence au journal le prenant pour un matyr. Sur le meme ton qu'elle venait d employer, il se comapra a un chien en laisse. D'ailelur cette phrase fit réfléchir un peu plus la Darson qui ne pensait qu a s amuser. Pour elle le shopping était un loisir, elle avait déja oublié qu'il détestait faire les boutiques, elle s'était laissée allée dans ses propos, de la maniere qu il avait parlé meme si c'était d autant plus amicale, elle se rendit compte qu'il avait accepter par choix et non par obligation meme si la demoiselle ne cessait de l'harceler pour porter ce complet. Le regardant dans les yeux, cette fois la jeune femme caressa la joue du Shakespearien a l'Aide de son pouce.

-La Darson se tiendera tranquille aussi de son coté, elle ne voudrait nullement vexer son acolyte surtout que celui-ci s'est montré doux toute la soirée. Dis moi Liam, que dois-je faire pour que tu oublies cette idée de vengeance? Fit elle cette fois en utilisant ses petits yeux noisettes pour lui faire part de sa sincérité et de son coté joueur.

Prenant gout a un baiser assez court d'Apres ce que pouvait juger la Darson, ils ne pouvaient pas rester dans le chemin entrain de s'embrasser des heures durant alors que des tas de magasineux désiraient terminer leurs achats de noel pour enfin rentrer dans leur foyer et partager leurs constatations du jour. Pourtant elle avait beosin de ses levres, sentir encore une fois ce moment magique qui lui avait manquer pendant les trois derniers jours. Enfin ils se dirigerent vers les vitrines, elle lui pointa le complet le plus ravissant de tous, certains étaient du meme style mais elle craquait pour celui-la en particulier. Le jeune homme paniqua au fait qu'elle pointe la vitrine. Bien entendu ce n'était pas l'envie qui lui manquait de le voir vetir les autres ensembles mais apres la réplique de tout a l heure, elle su alors que ce n était pas le moment pour lui demander autant de sa part.

-Tres bien, il faut pas ambition Liam, je nen demande pas tant, je vias me limiter a ce complet...

Puis il lui fit une propostiion, étant une grande shoppineuse, elle aurait pu trainer dans cette rue a faire du leche-vitrine toute la soirée sans pour autant vouloir y mettre un terme. Ayant déja eu un appercu de ce que pouvait lui réserver le jeune homme lors d une soirée, ce fut alors avec un sourire pétillant que la demoiselle hocha de la tete.

-T'inquiete pas mister Carlton, apres avoir passé ce calvaire je te réserve une surprise

Devinant un peu la réaction qu'aura le jeune homme face a cette réplique, elle lui mit son idex sur ses levres et lui murmura un simple < chut > avant de se fiare interrompre par une vendeuse qui avec le petit sourire d'affiché sur son petit visage fin leur proposait de les aider.

-Hum...oui pourquoi pas? Alors je voudrais cet ensemble mais dans sa taile a lui...disons du 44...du medium devrais te faire nan?

[Pathétique veut dire navrant non ? pas amusant….cette fois, il était vraiment pathétique, je ne t’en aurais pas voulu mdr…..]

Elle avait un fort tempérament mais William n’était pas dépourvu de caractère.
Sous son regard d’ange et ses attitudes des plus aimables, cherchant bien souvent à faire plaisir, il savait quand il le fallait, montrer qu’il était la, qu’il existait et qu’il méritait comme tout le monde le respect
Il avait bien vu sa caméra et il songea aussitôt qu’il aurait pu prendre la sienne.
Il aurait pu filmer des tas de choses qui pourraient lui servir plus tard, peut-être même pour son projet qui sait.
En fait, ce n’était pas une mauvaise idée qu’elle l’ ait apporté.
Par contre, ce qui l’ennuyait dans l’idée qu’elle ait avec elle de quoi filmer et prendre en photo, était plus le fait qu’elle puisse immortalisé un moment qu’il n’aimait pas spécialement, comme l’ « essayage » de complet dans une boutique chic par exemple.
En fait, cela lui ressemblait très peu mais si cela pouvait lui faire plaisir….
Ca par contre, c’était dans sa nature.
Il aimait faire plaisir autant qu’il préférait faire un cadeau plutôt que de recevoir.
Il aimait tout simplement voir sur le visage de la personne qui reçoit, le plaisir et la joie se dessiner.
Enfin, de toute manière, c’est parce qu’il se sentait plutôt à l’aise avec elle qu’il avait accepté, alors bon, après tout, si elle avait envie de le prendre en photo, pourquoi pas, cela pourrait être drôle.
Enfin, elle acquiesça lorsqu’il lui énuméra ce qu’il avait le droit de faire ou ne pas faire….
Il inclina alors la tête, l’œil pétillant de malice et il lui répliqua presque immédiatement après qu’elle ait prononcé son dernier mot :

« Premièrement jeune fille, ce n’est pas parce que j’ai assimilé ses règles que je vais les respecter, ne criez pas victoire trop vite, je n’obéis à personne sauf à moi même….. »

Et c’était vrai, s’il n’avait vraiment, mais alors vraiment pas envie de faire quelque chose, même si c’était pour faire plaisir, on aurait pu se mettre à genou qu’il n’en démordrait pas….
Et pour ce qui de ne pas la chatouiller ou la soulever, il n’était pas sur qu’il pourrait résister à l’envie de la tenir dans ses bras ou de la voir rire aux éclats.

Puisqu’elle se moquait de lui, elle serait apprise, il la taquinerait et il savait que le sujet délicat des ex-copines, surtout pour une fille comme Haylie qui aimait se sentir unique, il avait pu le remarquer bon nombre de fois, serait le meilleur moyen.
Apparemment, cela avait marché parce qu’elle resta muette jusqu’à ce qu’elle s’insurgea avec comme un pointe de jalousie. dans le fond de la voix
Comme s’il avait réussi à mettre sur ces épaules le poids d’un défi qui n’en était pas un.
Elle était compétitive et vindicative et il ne sut pourquoi, à la façon dont elle avait prononcé ces mots avait l’impression qu’elle réfléchirait et qu’elle le détaillerait du mieux qu’elle pouvait pour tomber sur la bonne taille du premier coup.
Et c’était alors à son tour de se moquer d’elle, bien gentiment, lorsqu’elle s’exclama de la sorte.
Il était hors de question d’appeler son ex-copine et il ne fut pas surpris.
C’est peut-être aussi pour ça qu’il l’avait précisé qu’ils étaient en mauvais terme, alors bon…..pas la peine de paniquer, il ne l’appellerait pas.
D’autant plus que si lui s’amusait de la voir ainsi, elle n’avait pas l’air de s’amuser beaucoup.
Tiens donc, il semblerait qu’elle soit jalouse…..et ca n’était pas pour lui déplaire.
Tant que ce n’était pas à l’excès, la jalousie était parfois un jolie preuve d’amour ou d’attachement à savoir doser si l’on ne veut pas pourrir la vie de l’autre et le couple par la même occasion.
Il ne releva plus le sujet, il était inutile de vexer la jeune fille, et inutile de parler maintenant des sujets qui fâchent un peu.
Mais par contre, il ne se gêna pas pour lui préciser qu’il était des remarques à éviter car sa patience avait des limites.
Il lui avait fait remarquer avec une extrême douceur et beaucoup de diplomatie et il fut heureux de remarquer qu’elle n’était pas une jeune capricieuse à qui l’on ne peut faire remarquer lorsqu’elle abuse un peu.
Non, il en fut ravi, et alors qu’elle caressait sa joue de son pouce, lui expliquant qu’elle avait bien compris le message, il attendit la fin de leur baiser pour répondre à sa question :

« ..Euh……. » lança-t-il faisant mine de réfléchir « Absolument rien, ce serait inutile…. »

Non mais, qu’espérait-elle donc ?
Bon, ce serait une vengeance des plus sympathiques, elle n’avait nullement à s’en faire mais……vengeance il y aurait.

Au moins, tout cela avait du bon, elle ne chercherait pas à lui faire passer toute la soirée à essayer des vêtements.
Et au vu de son sourire des plus pétillants, il n’était pas fermée à l’idée de ne pas s’enfermer ici, alors que pour une fraîche soirée de fin d’hiver, il faisait plutôt agréable. Elle même lui réservait une surprise apparemment.
Il se résigna donc à hocher la tête lorsque de son index, elle lui avait avec douceur demander de ne rien répliquer.
Aurait-elle déjà remarqué à quel point il pouvait parfois être lui aussi tenace ?
Rassuré qu’ils n’y passeraient pas la nuit, il écouta la jeune fille s’adresser à la vendeuse avec beaucoup de spontanéité.
Voici donc, tout ce qu’il détestait, elle avait demandé à la dame si son approximation au niveau de la taille qu’il devait porté était la bonne.
Et il se rappela alors pourquoi il n’aimait pas essayer des vêtements dans un magasin.
Il se sentait détailler de partout et il en fut même presque mal à l’aise.
Elle parlait de lui comme s’il n’était pas la, et cela le gênait fortement, il haussa alors les sourcils et se mordit la lèvre inférieur un peu embarrassé, faisant semblant de s’intéresser à tout sauf à ce qu’elle disait.
Mais, attention, la aussi il devait éviter de laisser ses yeux se balader un peu trop dans le magasin et surtout éviter de poser les mains sur quoique ce soit s’il ne voulait pas qu’Haylie lui fasse essayer.
La vendeuse laissa alors la jeune fille après avoir approuver le choix et du complet et de la taille et Liam, observant la petite blonde aux yeux noisettes, ne put s’empêcher de sourire amusé par la situation .
Il était en train de se dire que cela ne faisait pas plus d’une semaine qu’il se connaissait, pour ne pas dire moins, ne s’était pas vu plus de 2 fois dans l’intimité, et il avait l’impression qu’il la connaissait depuis toujours tant elle était expressive…malgré qu’elle conservait cette part d’imprévisibilité
Il la trouvait ravissante et sa joie de vivre ne faisait qu’en rajouter….
Il avait du mal à s’imaginer ce bout de femme sans son sourire accroché à ses lèvres.
S’il n’aimait pas les démonstrations de tendresse les plus explicites en public, il s’approcha tout de même d’elle, alors qu’ils attendaient la vendeuse, main derrière le dos, et chuchota à son oreille : « Je te trouve ravissante… »
Il avait bien entendu correctement choisi l’instant où il le lui dirait.
Le moment précis ou il avait vu la vendeuse arrivé, tout sourire, les bras chargés du complet.
Histoire de troubler un peu la miss qui n’aurait pas l’occasion de le remercier.
Il s’était aussitôt reculé et offrit à la vendeuse un sourire entendu, lorsqu’elle lui indiqua l’endroit ou se trouvait les cabines d’essayage.
IL soupira un peu dépité, et c’est sans trop de conviction qu’il s’avança invitant la jeune fille à le suivre. Non pas dans la cabine, mais elle pouvait tout au plus attendre devant non ?

[Je te laisse imaginer la suite…..]

Le jeune homme lui sortit une phrase qui la fit bien sourire, il n'était sous les ordres de personne sauf de lui meme. Enfin il démontrait son coté fort de son caractere que Haylie ignorait jusqu a présent meme si elle se doutait bien que lorsqu ils jouaient tout les deux dans les instants précédents, lorsque le jeune homme ne lachait pas son morceau était une preuve de sa détermination et que cela était une qualité selon Haylie. Ainsi donc elle serait certaine que jamais le jeune homme ne lui cachera ses sentiments pour elle, bien que ses yeux révélaient déja une grande partie de ses émotions, il en demeurait que lorsqu'il avait quelque chose a dire, le jeune Carlton ne se genera aps pour lui en faire part.

Par contre pour ce qui était de ses regles d'or, Halysie ne sera donc pas surprise de le voir la soulever a quelques moments pour la taquiner un peu, rien que pour l'effrayer afin de lui montrer qu'il savait aussi ien qu'elle gouverner. La jeune femme eu alors un petit rire ironique qui démontrait largement ce qu'elle pensait de la réplique de son interlocuteur, néamoin se doutant bien que le jeune Carlton ne se contentera pas d,un simple rire, elle se dit que le mieux était de lui donner une réponse concrete.

-Enfin, serais-je entrain d'entendre que le jeune homme ici présent voudrait témoigner de son indépendance?

Puis le jeune homme avait abordé un sujet plutot délicat pour Haylie, une histoire de ex-copine qui avait fait la meme chose qu,elle pour ce qui est de la tournée des magasins. Non pas que cette eptite plaisanterie soit quelque chose de grave mais ce fut a ses yeux une sorte de compétition. Si jamais son autre copine lui a déja fait faire un petit tour aux cabines, ca ne sera plus une premiere, elle ne pourra plus décerner la meme étonnation lorsqu'il sortira de la cabine et qu'il montrera peu a l'aise le complet qu'elle se serait permise de choisir. Non ca ne sera plus la meme chose, c'est pourquoi la jeune Darson se dit qu'elle ferait mieux d y ajouter une touche personnelle qui fera en sorte qu'elle soit davantage plus intéressante ou encore plus amusante que celle de leur ancienne relation.

Bien entendu la Darson avait démontrer la, une pointe de jalousie, cela ne faisait pas d'elle une jalouse compulsive. Non au contraire, la jeune femme aimait bien montrer qu'elle existait lorsque d'Autres venaient se frotter a son copain mais cela n,empechait pas le fait que le jeune brun était séduisant, elle aimait bien le montrer a tout le monde et le fait que les autres jeunes femmes le trouve craquant fera en sorte que la demoiseele ressorte une pointe de fierté. Par contre si le jeune Carlton se montrerait indifférent face a sa présence, alors une grande rage envahira la demoiselle et une dispute s y intallera. Elle avait beau etre tranquille et douce comme la neige par moments, quand quelque chose la dérangeait, elle ne se genait pas pour le dire.

C,est alors qu'il avait prononcé quelques intants auparavant le mot vengeance. Haylie trouvait ce mot bien vague qui laissait place a son imagination débordante. Non avec William, on pouvait s attendre a des surprises, qui aurait dit qu'il la capturait d un seul coup de ses bras et qu'il la souleverait dans les airs? Personne, enfin surtout pas elle, alors il pourrait bel et bien sortir queqlue chose totallement au dépourvu qui aura pour effet de la vexer...pas beaucoup mais juste la prendre par surprise la dérangeait queqlue peu. C est alors qu'il lui révélla le fait qu'il serait inutile pour elle de reproduire quelque chose qui fera en sorte qu'il oublie cette idée. Avait-elle fait quelque chose de si embarassant pour qu'il en veuille au point de préparer une vengeance?

-Tu veux vriament préparer une vengenance monsieur Carlton? N'As-tu pas de pitié de moi? Fit elle en prenant un petit air piteux et inocent a la fois.

Bien que la soirée étant déja divertissante, la demoiselle eut ce qu'elle voulait,, enfin le jeune homme se présenta devant la vitrine pour lui demander lequel des vetements il devra essayer. Ce fut avec une joie immense qu'elle lui présenta celui qui selon elle sera aprfait sur Liam. Bien entendu si ca serait d'elle, le jeune homme aurait tout essayer mais la nuit était toute douce ce soir, il n aurait pas été raisonnable de passer le temps qui leur restait dans cette boutique a essayer des trucs que le Shakespearien n'appréciait aps trop. Enfin il fallait le respecter un peu apres tout ce qu il a fait pour elle.

Une jeune vendeuse se présenta a eux leur demandant si ils avaient besoins d aide. Cela semblait évident, bien qu'elle ne connaisse pas la grandeur que portait le grand brun, il était de meme qu'il ne porterait certainement pas du extra large. Lui parvenant ce qu,elle croyait etre la tailel du jeune Carlton, la vendeuse s'éclipsa dans l'arriere boutique aller cherhcer la taille demandée. William restait sur place, a la regarder ou plutot la contempler tout comme elle le faisait, contempler ses yeux bleux et regarder apr moments la musculature que le jeune homme devait avoir sous son pull. Enfin elle pourrait voir tout cela en détail sous une petite chemise qu'il portera d'ici peu.

Puis il lui dit rapidement qu'elle était ravissante, la demoiselle rossit queqlue peu, prenant cela pour un véritable compliment. Voulant le remercier, elle se retourna avec son petit sourire pétillant, mais le jeune homme n'y était plus, il avait rejoint la vendeuse qu'il lui avait tendu l'ensemble a essayer. Se sentant un peu ridicule de sourire pour un rien, elle se tourna dos a lui, se sentant quelque peu mal a l'Aise.

Puis il lui demanda de le suivre en direction de la cabine, bien entendu elle attenderait a l'extérieur meme si l,envie était de le suivre jusqu a la cabine,enfin si leur relation évoluait elle pourrait le voir éventuellement dans une meme situation. Pour l'instant elle attenderait a l'extérieur. Attendant que son cavalier se change repidement pour qu'elle puisse le contempler a nouveau.

Ce fut tout de meme d une courte attente qu,elel vit finallment le Shakespearien sortit de cette fameuse cabine, trainant un peu le aps de la cadence. Le résultat était a en couper le souffle, la demoiselle posa une main sur sa poitrine avant de se diriger vers lui et de lui déposer les deux mains sur les épaules.

-Wah et bien et bien Liam, pour un jeune homme qui détestait les essayages, tu es trop...trop...je sias pas comment le dire....Enfin tu es extra, c est vriament...en tout cas! Puis comme s il fallait qu'elle trouve un défault, un quelque chose a lui reprocher, elle appercut alors qu'il n avait aps mit la cravate qu'il y avait sur la vitrine, la jeune femme donna un petit coup amical sur son torse et secoua négativement de la tete.

-Ou est passée la cravate? Tu ne l a pas manger tout de meme?

Lorsqu’elle lui demanda s’il devait comprendre en ces mots, qu’il était en train de lui faire comprendre qu’il s’imposait tout doucement, il fut quelques parts ravis de constater qu’elle était une fille tout bonnement intelligente, ni plus ni moins.
Pourquoi ?
Parce qu’elle avait bien compris les limites du jeu.
Il lui sourit alors malicieux inclinant la tête et haussant les épaules dans une expression qui voulait dire « Bah, tu as tout compris…. »
Elle était presque aussi expressive que lui, et il éclata de rire lorsqu’il la vit prendre cette petite mine piteuse et parfaitement innocente.

« Pitié » lança-t-il presque étonné « Je crois que tu mérites bien plus comme sentiment que la pitié tu ne crois pas ? »

Elle était une fille à aimer.
Elle était belle, intelligente, un caractère bien trempé, ambitieuse, elle avait beaucoup de qualité qui plaisait à Will et étrangement, il espérait qu’il arriverait à l’aimer comme elle le mérite.
Oui, il pourrait très facilement se laisser prendre dans les filets de l’amour avec cette jeune fille.
Il pensa alors à Presea…
Que venait-elle donc faire dans sa tête à cet instant précis.
Il eut comme l’envie de la voir, histoire d’être sûre de ses sentiments à son égard.
Il avait l’impression qu’il ne pourrait avancer dans une relation avec la jeune fille en face de lui tant qu’il n’aurait pas revu Presea…Mais autant cela l’inquiétait avant, autant maintenant, depuis sa rencontre avec la jeune Haylie, il avait la certitude que son cœur ne batterait plus comme il arrivait parfois, lorsqu’il croisait la brune dans un couloir.
En moins de temps qu’il ne fallait pour le dire, ils étaient retrouvés devant la boutique que la jeune fille affectionnait et tout aussi rapidement, à peine le temps de prononcer un Ouf, ils étaient déjà à l’intérieur, vendeuse à l’appui, un compliment pour la miss et un complet à la main.

Ah, quelle douce expression il avait pu lire sur ses traits après qu’il lui ai fait ce si sincère compliment.
Il l’avait vu rougir mais l’avait abandonner la, pour rejoindre la vendeuse, et il lui adressa un petit clin d’œil par la suite
Il ne l’avait pas complimentée pour avoir un merci et un sourire, il l’avait complimentée parce que sa beauté et sa joie de vivre l’avait ébloui tout d’un coup.
Il ne s’était même plus demander ce qu’il faisait la et en avait oublié la torture qui l’attendait.
Non, il n’y avait plus qu’elle, son sourire, ses yeux, ses éclats de rire, bref…toute sa personne qui comptait au moment où il lui avait fait part de ses mots qu’il n’aurait pu garder sur lui.
Alors, non, il ne voulait nullement d’un merci bien que c’est volontiers qu’il aurait accusé son sourire.
Elle l’avait suivi, comme il le lui avait demandé.
Les cabines étaient réparties dans un petit couloir, les unes à côtés des autres, et devant chacune d’entre elle, était disposé de siège en cuir noir paraissant somme toute fort confortable.
Il pénétra donc dans une des cabines extrêmement lumineuse qui présentait elle aussi un petit tabouret, un miroir, enfin, vous imaginez très bien je suppose.
Il accrocha le complet sur un des crochets destinés à cet effet et l’espace d’un instant, il s’assit sur le tabouret, se prenant la tête dans les mains, un sourire amusé aux lèvres.
« Bon » se dit-il « Plus vite c’est fait, plus vite on part… »

A cette idée, il fut pris d’une sorte de ferveur qu’il fut rapidement vêtu, il jeta un coup d’œil dans le miroir, histoire d’arranger correctement la chemise, et il jeta un œil sur la crave…. Hors de question qu’il la mette, en plus il ne savait pas faire les nœuds de cravate et en prime, il ne fallait pas non plus abusé…

C’est lentement mais sûrement qu’il quitta la cabine avec sur le visage une mine complètement dépitée.
On pouvait lire qu’il y lire qu’il était pressé de renfiler son jean’s.
On s’y sentait bien mieux.
Elle par contre, semblait complètement séduite par le tableau
La main sur le cœur, elle s’approcha alors de lui, posant ses délicates menottes sur ses épaules et cherchant ses mots pour exprimer l’impression qu’elle venait d’avoir…
Il lui sourit amusé et flatté.
Il haussa les sourcils une fois, se mordant la lèvre content qu’elle soit satisfaite du résultat et touché par ses mots…qu’elle ne prononçait pas mais qui n’avait pas besoin de sortir de sa bouche tant son visage reflétait ce qu’elle pensait.
Il jeta un coup d’œil derrière lui, histoire de voir si aucune vendeuse ne se pointait à l’horizon, et il posa sur ses lèvres un baiser pour la remercier..

Mais, c’était plus fort qu’elle, elle aimait le taquiner et c’est ce qu’elle fit, lui parlant de sa cravate..

« Hors de question que je porte une cravate » lança-t-il… « Elle a beau être très jolie j’ai à peine dix-neufs ans…tu me vois avec une cravate….et méfie toi Princesse »

il s’approcha de son oreille et lui susurra ces mots :

« Si tu insistes trop, je pourrais très bien choisir pour vengeance de ….. »

Mais il s’abstint de continuer sa phrase, fallait mieux éviter de parler de ce genre de chose, il ne voulait pas l’effrayer, car c’était une pure plaisanterie et il n’aurait pas voulu qu’elle croit qu’il ne s’intéressait à elle que pour sa plastique et le plaisir de l’allonger dans son lit.
Ce n’était pas cela du tout, ce n’était pas son genre
Il avait eu comme tout les ados, cette période de sa vie où il collectionnait les aventures, bien que Liam restait tout de même au dessus de la norme à ce niveau, trop respectueux, mais maintenant, à l’heure actuelle, il avait trop de respect pour elle.
Il n’aimait pas l’idée que cette pensée pourrait même lui effleurer l’esprit.

Le voyant jouer des épaules tout en affichant un large sourire, al demoiselle comnpris qu,encore une fois elle avait raison. Elle avait beau faire des suppositions, jusqu'a présent tout s'avérait vrai. Un autre signe de victoire, il ne fallait tout de meme pas s'enfler la tete avec des propos aussi dérisoirs. Enfin ca serait totallement idiot de sa part que se vanter d'une chose qui est loin d etre importante.

Puis pour ce qui est de la pitié, le jeune homme prit un brin d'étonnation dans sa voix. Meme qu'il s'était mis a rire, étant expressive, il n'était pas étonnant que le jeune Carlton se mette a rire rien qu'a la voir plisser légerement des yeux tout en pressant ses levres pour donner l'impression de bouder presque. Non ce fut la fin de la phrase qui lui confirma le fait que Liam était ravi de se tenir en sa compagnie une fois d eplus. Oui parce que sinon il n'Aurait pas mentionné qu'elle méritait plus que de la pitié. Ce fut avec le petit sourire rayonnant, la tete haute de nouveau que la petite Darson hocha de la tete ravie.

Pour tout dire, la jeune femme était égallement bien avec le jeune homme, il savait parfaitement comment la faire sortir de ses vieux remoirds, de ses souvenirs douleureux, de faire partager des moments inoubliables. Enfin il donnait a Haylie une envie soudaine de vivre davantage pour gouter a tout les plaisirs que la vie pouvait lui offrir. Utilisant comme principale arme, la plaisanterie et comme bouclier l'Amour, la demoiselle réussisait a se construire un présent heureux. Elle était la joie de vivre en personne et William ne faisait qu'alimenter sa soif de vivre, son envie de vouloir a chaques moments passés, les mémoriser pour revivre dans ses moments de solitudes ces agréables instants.

Ses yeux bleux qui lui avait donner l'envie soudaine de l,embrasser, le soir de Noel, elle se revoyait d ailleur a ce moment la, un peu de malaise a chaques approches de la part du Shakespearien, a ce moment la un parfait inconnu pour elle. Lui est arrivé durant ces trois derniers jours de s etre mise a penser que le jeune homme avait peut etre tenter de l'approcher davantage cela du au baiser qu'ils s étaient échangés. Puis le déroullement de cette soirée, cette soirée qu'elle avait longtemps revée; Haylie ne pouvait rien demander de mieux, ils s'étaient vus deux fois seulement et ils agissaient comme s'ils se connaissaient depuis une éternitée. Ils se respectaient tout les deux connaissant déja les limites de l'un et de l'autres, les deux jeunes lycéens étaient des partenaires de jeu, un jeu qui s'Avérait tres dangereux. La petite blonde se laissait emporter trop vite par les sentiments qu'elle éprouvait déja a l'égart de Will. Un certain attachement, bien entendu elle ne mourerait pas pour lui mais elle pouvait presque lui donner toute sa confiance.

Tout deux devant une boutique, les instants d'apres furent d'une rapidité, a peines venaient-ils entrés qu'ils eurent la comagnie d une vendeuse qui se hata de leur venir en aide pour ce qui était de la taille. Puis lui faisant un compliment qui la laissa completment au dépourvu sans lui donant une chance de le remercier pour ce compliment touchant. Il s'était dirigé vers une cabine avec l'ensemble sous le bras . La jeune femme l'avait certe suivie mais elle n'eut pas la chance de voir L'expression du jeune homme en lui disant ces mots, sans qu'elle puisse en dicerner une satisfaction quelquonque de la taquiner a novueau, a en croire le jeune homme ca en devenait un loisir. Un sourire inutile, n'impressionnant personne. Quelle déception pour la demoiselle qui était convaincue avoir droit a glisser dans l'oreille du jeune homme queqlues mots en retour.

Enfin apres un peu de patience, elle put en voir sortir son petit mannequin. La jeune femme était paumée, il en manquait peu pour qu'elle sorte une phrase que toutes les meres se doivent de dire en présence d un public : <<Je suis si fiere de mon petit gars >> Non la jeune femme n'irait pas sortir un truc pareil, quoique rien que pour l'Agacer un peu elle pourrait sortir cette réplique. Non il était mal a l'Aise, ca se voyait dnas son regard, elle ne voudrait l'avoir a dos pour le reste de la soirée, elle devait demeurer tranquille comme elle l'avait si bien dit avant. Tout de meme, la demoiselle avait eu droit a un mince baiser en guise de remerciement. Juste assez pour lui faire oublier l'idée de sortir cette phrase. Cela n,empecha pas le fait qu'elle lui fasse un reproche sur la cravate. Il ceci comme était un simple petit reproche, il était bel et bien jeune, il avait tout l avenir devant lui et ne désirait aps porter de cravate a cet age.

-Rho mais c'est si joli, Tu aurais l'air d un type respectable! Avait-elle dit presuqe en lui emboitant le pas, il avait triché, elle avait parlé de l'ensemble ce qui incluait la cravate, mais bon comme la jeune actrice ne désirait pas lui faire peur pour faire les boutiques, elle jugea qu'il était mieux de le rassurer, de profiter du peu qu'il restait a cette soirée et ce en bons termes, elle ne pouvait tout de meme pas se montrer plus exigeante qu'elle ne l'était déja!

C,est alors qu'il s'approcha de son oreille pour lui parler doucement mais tendrement les quelques mots qui la fit se retrouenr vivement vers lui. Ainsi donc il n'Avait pas oublier cette histoire de lingerie, la jeune femme émit un soupir de courte durée avant de rouler les yeux puis la jeune femme secoua vivement de la tete a nouveau avant de lui offrir un petit sourire rempli de malice.

-Bon tres bien prince charmant, je t en demanderais pas plus pour aujourd hui. Satisfait?

Il ne savait pas ou cette histoire les mènerait, non, il ne savait pas s’il ferait un long bout de chemin ensemble ou non, mais il savait ce dont il avait envie et il savait déjà ce dont leur couple en devenir pourrait souffrir ou non.
La jalousie sans doute, comme dans tous les couples, serait un lourd facteur de conflit.
Pas la jalousie dans le couple, entre eux, non il pensait à la jalousie des autres, ces autres, qui ne se gêneraient sans doute pas pour venir alimenter leur propre vie faite d’ennui, par des ragots partant de vérité qu’ils broderont de leur fabulation.
Lui, se sachant un peu possessif, savait d’avance qu’il devrait faire attention à ses façons de réagir pour ne pas que la demoiselle, indépendante, ne se sente pas emprisonnée
Et il espérait qu’elle avait compris qu’il aimait se sentir libre étant sans doute tout aussi indépendant qu’elle, et éviterait donc de l’étouffer comme savent parfois faire certaine jeune fille.
En général, lorsqu’elle tienne à un jeune homme dont elles sont fières, elles peuvent se montrer exagérément possessive, ce qu’il ne blâme pas, étant donné qu’il pouvait être pareil..
C’était encore un côté de la personnalité de la jeune et jolie qu’il découvrirait à mesure de leur histoire.
Par contre, il savait d’avance que la routine et la monotonie ne les guetterait pas de si tôt.
Elle savait se montrer tantôt drôle et amusante, quelque fois douce et tendre et tantôt faire preuve d’esprit et d’intelligence.
Alors, non, le monotonie ne lui faisait pas peur.
Vous vous direz qu’il est peut-être tôt pour penser à ce genre de chose, mais Liam avait cette faculté dès le premier ou le deuxième rendez-vous à savoir d’avance si la jeune fille en face de lui était ennuyeuse ou non .
Ce n’était pas difficile, il n’était pas de nature bavarde, alors, si elle arrivait à le faire parler à son aise, de tout, de rien ou de sa passion, c’est qu’il pourrait s’entendre et qu’elle avait ce petit plus, ce petit quelque chose en plus, qui l’attirait, qui l’intriguait et qui lui donnait envie d’aller voir plus loin la tournure que cette histoire prendrait.
Oui, il se sentait bien en sa compagnie et fidèle à lui même, cela pouvait se lire dans ses yeux bleu et se comprendre dans ses propos.
C’est donc rapidement qu’il se retrouva à céder aux caprices de la miss pour le plaisir de la voir sourire.
Il ne devait jamais se forcer pour cela et puis, essayer des vêtements étaient loin d’être déshonorant.
D’autant plus qu’elle avait du goût, le costume qu’elle avait choisi, sa couleur, collait parfaitement avec les yeux du jeune homme qui était comme mis en valeur.
Il était donc face à elle et ses compliments la remerciant d’un doux et rapide baiser et il éclata de rire lorsqu’à la remarque concernant la cravate et son âge, elle lui dit qu’il aurait presque l’air d’un type respectable.

« Merci Jeune fille, parce que la pour le moment, je ressemble à un assassin en cavale….je te remercie…… »

Mais il affichait tout de même un beau sourire, amusé par sa spontanéité.
Elle ne devait pas toujours réalisé le poids de ses mots.
Alors, il la taquina, lui chuchotant que si elle insistait un peu trop, il mettrait sa vengeance de suite à exécution.
Il lui avait chuchoté ses mots à l’oreille susurré comme un secret ou une confidence.
Elle se retourna sur lui, presque offusqué par ce qu’il avait laissé sous entendre et William afficha alors une expression de victoire.
Elle céderait cette fois, et c’est lui qui avait gagné.
Il ne porterait pas la cravate et en échange, rien qui pourrait mettre la demoiselle mal à l’aise à son tour.
Il avait dans le regard et dans le sourire une expression d’espièglerie et il fut satisfait de l’entendre lui dire qu’elle n’en demanderait pas plus aujourd’hui et s’il était satisfait.

« C’est bien ce qu’il me semblait » lâcha-t-il avec un hochement de la tête entendu.

« Bon » continua-t-il « Dans ce cas, je suppose que je peux ré-enfiler mes habits d’homme peu respectable…… »

Et en moins de temps qu’il ne fallut pour le dire, il était déjà dans la cabine en train de se changer..
Qu’il était bon de retrouver la douceur du Jean’s sur sa peau.
Il replia correctement les chics vêtements sur les supports correspondants alors qu’il n’avait fait qu’enfilé sa chemise.
Il sortit de la cabine d’essayage, son pull dans une main et le costume de magasin dans l’autre.
Il avait toujours trouvé qu’il faisait trop chaud dans les cabines de ce genre et il attendrait d’être dehors pour revêtir son pull.
Il sourit à Haylie qui l’attendait sagement et il fut encore prit d’une irrésistible envie de l’embrasser.
Il était toujours inexorablement attiré par ses lèvres qu’il trouvait d’une extrême douceur.
Et s’il avait été réticent à l’idée de venir ici, pour ce qui était de quitter les lieux, il était des plus prompts.

« Après vous Mademoiselle » avait-il lancé à la jeune fille pour la laisser passer devant, ne pouvait la mener, main dans la main, à sa suite et à son devant, puisqu’elles étaient chargées.
Et c’est ainsi qu’il rendit à la vendeuse le complet en la remerciant.
En fait, s’il était resté galant, il n’avait pas vraiment laissé le temps à la jeune Haylie de prendre ne fusse qu’une décision, et une fois, le complet rendu à la vendeuse, il quitta le magasin, saluant le personnel et les remerciant après avoir récupéré la main de la jeune fille comme si elle allait s’envoler.

S’il avait chaud dans le magasin, une fois à l’extérieur, il sentit le froid s’abattre sur lui et un frisson lui parcourut le corps. Il lâcha alors la main de la jeune fille pour se rhabiller en vitesse.
Machinalement, il passa sa main dans ses cheveux , ou du moins ce qu’il en restait après le coup de tondeuse et il reporta son attention sur la jeune fille :

« Alors alors….Premièrement, je ne sais pas toi, mais moi tout ça m’a donné faim…alors, je t’invite à manger un morceau avec moi ou tu voudras, mais d’abord, si mes souvenirs sont bons » dit-il s’avançant vers elle pour l’enlacer tendrement tout en veillant à rester discret.

« Il me semble que tu m’as parlé d’une surprise non ? » dit-il en caressant du beau des doigts le dos de la jeune fille….

En fait la jeune femme ne portait pas tellement attention a ses propos la plupart du temps ce qui pouvait vexer certains individus. Il lui arrivait meme de sortir une blague sur les grosses ou encore sur les blondes dont elle en fait partie sans se préocuper de l'opinion des autres sur ce sujet. En fait elle avait dit cela bien plus pour lui faire voir qu'il était propre bien qu'il ne soit pas sale d'habitude mais chic et beau. Bon d'accord William ratait toujours un ravissant jeune homme mais le voir dans de tels habits le rendait davantage séduisant. Elle en avait meme mordu sa levre inférieure, un peu genée d avoir sortit de tels propos.

-Mais non voyons! Quoique, je ne connais pas ton passé...qui sait peut etre que j ai un ancien tueur en série devant moi! Avait-elle encore une fois utiliser son coté joeur pour le faire sourire.

La jeune femme adorait le voir sortir ses dents blanches, lui donnant l'envie de sourire a son tour rien que pouvoir admirer une certaine joie dans ce visage. Un visage qui a peine quelques jours auparavant lui était totallement inconnu. Et voila que ce soir, elle s'amusait tout en découvrant de spoints cachés dans la personnalité du jeune homme tel que la force de caractere. Le fait qu'il ne démorde pas de son point vue était un coté qui plaisait beaucoup a la jeune femme. Il y avait tres peu de choses qu,elle n aimait pas du jeune Carlton pour ne pas dire rien puisque a ses yeux aucun homme n'était parfait. Ils avaient tous ce petit quelque chose qui faisait en sorte que apres avoir rever, il fallait redescendre sur terre et se rendre compte que en fait il y avait queqlue chose qui l'Agacait.

Assez terre a terre de nature, la jeune femme Na,vait rien a lu ireprocher sur ce point la...le fait qu'il céde a tout ses caprices n,était pas un probleme pour elle en autant qu'il ne tombe pas dans l'exagération, la jeuen femme finirait par s'emporter n'aimant pas avoir affaire avec des bons samaritains. Certe ce genre de personnes étaient des personnes de bon coeur et elle ne doutait pas une secondes, qu'ils étaient tous la pour l'Aider mais bon elle voullait voir égallement un coté malsain, un peu bad boy. Liam lui avait déja prouver sa tenacité, cela suffisait pour la faire réfléchir un peu lorsque des jeune hommes se présentaient devant elle pour un soir.

Bien apres avoir céder a son caprice a lui, elle put décerner son visage un sourire satisfait pour ne pas dire fier de son coup. On aurait dit que c était tout ce qu'il attendait d'elle. Succomber a ses idées, lui prouvant qu'il pouvait avoir égalmement le dessus sur elle. Puis il lui demanda s il pouvait aller enfiler ses habits totallement normaux, la jeune femme hocha de la tete a plusieurs reprises avant de le regarder se hater de rejoindre la cabine. Encore une fois la miss du se trouver un passe-temps pendant qu'il se change. Elle opta pour regarder les autres ensembles, il était évident que si on l'écoutait , ils ne seraient pas sortis de cette boutique avant l aube mais bon elle lui avait promis de ne faire qu'un essai, elle devait respecter cette entente.

Puis étrangement le jeune homme ne sortit aucun commentaire sur son épreuve, non au contraire il vint soudainement déposer un fin baiser sur les levres de la demoiselle. Comme si elle lui avait manquer ou encore que ses levres lui avait manqué depuis un certian moment déja. Tout juste le temps de passer sa main sur la joue du jeune homme l'invita a sortir de la boutique. Ce fut d un geste de la main que la vendeuse ferma la porte derriere eux. Sentant probablement le froid lui parcourir les épaules le jeune homme remit son pull en lui lachant la main. Elle ne devait pas s inquiéter puisqu'il reprit la main par la suite l'invitant a manger un morceau. Prenant l,essayage comme étant un grand effort, il répliqua que cela lui donnait faim, pour elle plus elle se passerait de nourriture mieux ca sera pour sa ligne. Il enchaina pour ce qui est de sa surprise a elle, la jeune femme lui offrit a nouveau un sourire avant de déposer ses mains sur les yeux du jeune homme.

-Et bien et bien on a une excellente mémoire monsieur Carlton...Donc je te montre la surprise et ensuite on file manger...hum... a cette heure-ci je sait pas s il y a une restauration d'ouverte omis le Mc Do....Tu ne regardes pas surtout...avant de t y mener je veux que tu me promette de ne pas tricher....