Dans la vingtieme heure

(Nan nan, moi aussi j avais mis du temps a répondre)

Sous la plaisanterie de la jeune femme, Liam était toujours la pour la rammener a l'ordre pour ne pas qu'il y ait d'excès pour le moment. Ainsi donc il lui répliqua qu'il devra y trouver un plaisir a céder a ses caprices. Si tout les deux étaient satisfaits alors ils seront tout les deux gagnants de cette hsitoire. Elle repensa tout de même au fait que le jeune ne réclame rien, il avait refusé de faire une proposition, il se contentait de bien peu alors qu'elle ambitionnait a chaques fois.

Tout même lorsqu'elle lui parla de correction le jeune homme lui démontra comment lui pourrait faire pour la mettre a sa place, usant de ses doigts pour imiter le geste qui la ferait rire a n'en plus finir, elle se ravissa de cette idée en hochant de la tête. Bon il fallait dire que lorsque le temps était venu, le jeune Carlton savait se montrer autoritaire et il assumait assez bien son role. Il pouvait être calme tout en gardant sa pointe de personalité qui faisait en sorte qu'il était très bien capable de gérer les situations comme celles-ci. Si elle demandait de ne pas être punie, le jeune homme ne se laissa nullement influencer par la belle en lui disant qu'il décidait et qu'elle lui obeir en se laissant faire puisqu'il ne lui en donnait pas tellement le choix. Elle n'Aimait pas trop cette idée lorsqu'elle repensait a ce qui s'était déja produit dans son passé, mais ca William l'ignorait encore, d'Ailleur elle devra songer a lui en parler pour en pas qu'il pense qu'elle ne lui faisait nullement confiance

Puis alors qu'il s'était bandé les yeux la demoiselle en avait profiter pour se dissimuler dans la pièce d'A coté pour la caméra, elle ne lui laissa pas tellement le temps de s'ennuyer qu'elle était déja de retour en se mettant ajouer un peu comme une gamine qui s'Amuse a imiter les personnes qu'elle voit et le jeune homme était entré dans son jeu. Ces instants furent bien courts puisque celui-ci se décida a essayer tout ce que pouvait contenir la caméra. Haylie s'en importait epu pusiqu'elle en connaissait rien a ces engins et qu'elle ne comptait s'en intéresser pour autant, ca demeurait une machine beaucoup trop complexe pour qu'elle puisse l'utiliser convenablement. Néanmoin ce dernier réussit alors a tirer l'Attention de la miss Darson en lui disant que son foulard l'Appartenait désormais. Or bien que la demoiselle était du avis contraire, celui-ci ne démorda pas de son intension.

Puis elle utlisa le mot dressage qui stoppa nettement le rire de son interlocuteur comme si elle venait de lui planter le couteau dans la plaie ou un truc du genre. Elle avait utiliser de la plaisanterie, rien de plus, innocente sur les bords, la jeune femme se rendit bein comptes qu'elle avait une fois de plus exagérer. La goutte qui venait de faire déborder le vase a en voir le visage du jeune homme. Elle était vriament été trop loin avec cette histoire et même avec le petit baiser qu'elle avait déposer sur les levres de celui-ci, elle vit clairement qu'il n'était pas d'humeur a plaisanter

-Je voulais simplement dire...

Elle se stoppa la, se dissant que c'était maintenant peine perdue de continuer a répliquer pour rien. Elle chercha tout de même de prendre son foulard en tentant de revoir le sourire disparu du jeune homme qui se tenait devant elle. Non il était vexé et le prenait très mal, il la regarda tout de même en lui demanda de comprendre le fait que si il désirait son foulard, il le garderait et que ca ne menerait a rien de continuer a lui tenir tete, il était détermminé a le garder. Il ne fallait pas non plus qu'elle continue a jouer les gamines, ce n'était pas la fin du monde, il ne s'Agissait d,un simple foulard. Peut-être un simple souvenir pour le jeune homme, pourquoi avait-elle chercher a lui arracher ce morceau de tissus alors que sa garde-robe en avait plein la vue. C'était un comportement complètement égoiste en sachant tout ce qu'elle lui avait demandé et qu'il avait céder et elel qui faisait toute une histoire pour un simplement foulard. Elle soupira longuement entendant ses propos concernant le dressage,c'était une plaisanterie, une simple plaisanterie mais William ne semblait pas être a l'Aise dans cette situation et en regardant sa montre il affirma qu'il était mieux pour lui de rentrer et qu'il avallerait un truc seul. Haylie se sentait mal de le laisser partir de cette facon alors qu'il y a peines quelques minutes ils avaient tout deux un large sourire d'Accrocher sur leur levres. C'est alors en promenant son regard sur le sol, la jeune fille leva la tête et chercha le regard du jeune homme.

-William... Fit elle en prenant une grande respiration. Elle se douta bien que le jeune homme ne voudrait rien entendre et partirait mais elle se risqua tout de même.

-Je suis vriament navrée que ca se passe comme ca...vriament...Je t'invite a manger quelque chose, je te dois au moin ca non? Ce n'était aps volontaire je t'Assure Liam, si je peux faire queqlue chose pour me racheter je le ferais même si c'est d'Aller cette boutique de lingerie ou même me faire chatouiller Fit elle avait une lueur d'espoir dnas ses yeux, espérant tout simplement que le jeune homme entende ces paroles avant de quitter cette piece

Oui, il l’avait déjà remarqué, elle était loin d’être une petite blonde belle et idiote.
Elle avait un fort caractère mais elle avait du mal à savoir où était la limite avec le jeune homme, ce qui était tout à fait normal, compte tenu du fait qu’ils se connaissaient à peine tout les deux.
C’était la deuxième soirée seulement qu’il passait ensemble et à part quelqu’autre appel téléphonique, elle ne connaissait pas encore jusqu’où la patience du jeune homme, qui est sans doute une de ses plus grandes vertus mais dont il ne faut nullement abuser…Comme tout d’ailleurs.
Elle avait usé d’un mot qui avait fortement vexé l’amour propre du jeune homme qui avait cessé de sourire, qui ne jouait plus du tout, et ce peu importe ses baisers, son ton amusé, lui, savait pertinemment qu’avec ce genre de demoiselle, s’il ne montrait pas dés maintenant, dès le début de leur relation, qu’il n’était ni un chien, ni un jouet, mais un jeune homme qui attend et qui mérite le respect, elle aurait vite fait de lui montrer sur la tête, de faire de lui un pantin et il n’était pas jeune homme à vivre de la sorte, troquant griffe pour menotte.
Non, il était plutôt du genre à satisfaire les besoin des autres tant qu’il n’empiétait pas sur son bien-être et son intégrité….
Alors, oui, il lui avait fait remarqué qu’il n’était pas du tout content de l’entendre parler comme cela, et il lui avait aussi démontré qu’elle pourrait danser sur les mains, faire des poiriers, chanter où mettre en œuvre toute sorte de stratagème pour le faire céder quand il n’en avait pas envie, elle n’y parviendrait pas.
S’il arrivait à lui faire croire qu’elle était maîtresse de la situation, il fallait surtout qu’elle sache une bonne fois pour toute, comme il avait bien souvent essayé de le lui expliquer usant de beaucoup de diplomatie, que ce n’était qu’une impression car lui seul décidait de ce qu’il souhaitait ou non faire pour lui faire plaisir ou ne pas faire d’ailleurs.
Elle avait prit la parole, sans doute pour s’expliquer mais elle abandonna cherchant encore une fois à récupérer son bien, mais la une fois encore, elle s’arrêta net……remarquant sans doute qu’il était vexé.
Lui, regarda sa montre et annonça son départ en lui faisant remarquer qu’elle ne récupèrerait pas son foulard….
Alors qu’il avait déjà quitté la pièce, elle l’interpella et il ralentit la course, sans se retourner au cas où elle aurait quelque chose à lui dire et en effet, c’est ce qu’elle fit et il s’arrêta alors pour l’écouter, se retournant pour chercher dans son attitude, un petit quelque chose qui pourrait lui donner l’impression qu’elle s’en voulait d’avoir user de ses mots, mais, il ne savait plus trop où se situer vis-à-vis d’elle.
Tantôt, elle pouvait être drôle et adorable et parfois blessante et limite appeurée, alors, non, il ne savait plus trop comment se situer face à elle, si bien, qu’il l’écouta et répondit alors sur un ton simple, calme, car il ne criait que rarement :

« Tu ne me dois rien du tout …..je crois que tu n’as pas l’air de comprendre le message que j’essaie de te lancer depuis tout à l’heure…. »

Il fit alors demi-tour et il s’approcha d’elle, sans la toucher depuis l’incident précédent :

« Je ne fais jamais que ce qu’il me plait de faire, et il n’est pas question de dressage, si tu n’as pas compris que tu peux obtenir beaucoup de moi tant que tu me respectes, c’est pas faute d’avoir essayer de te l’avoir fait comprendre…moi en retour, je t’offre la même chose, mon respect et c’est limite si je te fais pas peur……alors, j’ai pas besoin de t’emmener dans une boutique de lingerie, ça m’intéresse pas….et je ne cherche pas non plus à m’inviter…..non, tu peux tout obtenir de moi si tu me respectes…. »

Il n’ajouta rien et ne répondit pas à sa question par rapport à son invitation, tout ce qu’il voulait, c’est qu’elle comprenne qu’il n’était pas homme à dresser, ni même à mater, qu’il était aussi doux et tendre qu’il ne pouvait être de mauvais caractère.

C’est fou comme parfois, quand on inverse les rôles, la personne en face de soi, sans doute peu habituée à se retrouver dans la situation qu’il lui arrivait plus souvent de faire vivre que de vivre, peut être complètement désemparée.
Elle était expressive et on pouvait lire dans ses yeux et sur son visage toute son embarras alors que lui s’était refermé comme une huître et avait effacé son sourire.
En même temps, on ne pouvait pas dire qu’il souriait souvent et beaucoup, il était plus courant de le voir en train de rêvasser regardant par la fenêtre mais il était bien rare qu’il rit aux éclats.
Elle avait cherché à le retenir, lui proposant d’aller manger quelque chose finalement, tentant de lui expliquer qu’elle plaisantait mais lui, même s’il avait fait demi-tour, lui avait fait part de son impression quant à la situation actuelle, et la précédente dont il avait fait grâce aux efforts de la jeune fille, abstraction jusqu'à ce qu’il soit en opposition face à son humour.
Il ne pouvait pas lui dire qu’elle n’avait rien à craindre de lui mais, devait accepter qu’elle le confonde avec un oiseau auquel on apprendrait des tours ^^ .
Alors, oui, il avait des choses à lui dire et c’est ce qu’il fit, sans se gêner, lui parlant de respect. C’est alors qu’elle entreprit de lui répondre…..expliquant qu’elle lui devait des explications, mais il ne voulait pas se servir de cet incident pour en savoir plus et il ne souhaitait pas non plus, lui donner l’impression de l’avoir piéger mais il n’eut pas le temps de répliquer quoique ce soit qu’elle avait commencé son récit.
Et quel récit…
Il se sentait mal de l’entendre lui raconter des traumatismes si intimes de sa vie, c’est pas ce qu’il souhaitait. Lui, tout ce qu’il avait espéré c’est qu’elle modère ses mots, tout simplement. D’autant plus que ce qu’elle lui annonçait devait sans doute être difficile à raconter.
Il fronça un peu les sourcils en l’écoutant, et même si elle évitait les mots scabreux, qui font mal et qu’on a difficile à s’avouer. Se dire : « J’ai été victime d’un viol » est sans doute la chose la plus compliquée à admettre et à s’admettre.
Lorsqu’elle eut fini, expliquant que ce viol avait engendré le double traumatisme de voir un homme que l’on aime pas s’introduire de la sorte dans notre intimité contre notre gré, il lui avait laissé une trace dont elle n’avait voulu, qu’elle n’avait pas gardé et cela, ça doit être encore plus pénible, d’avoir à se justifier qu’on empêche un être de venir au monde.
Mais, il la comprenait tout à fait.
Quelle adolescente aurait souhaité garder en elle et élevé, alors qu’elle est elle même à l’aube de sa vie, mettre au monde un enfant né de la violence.
Un enfant, c’est le fruit de l’amour pas de la haine
Et a 17 ans, même s’il était né d’un moment de pure tendresse, c’était encore une erreur de jeunesse non.
Il restait quelques secondes incalculables lorsqu’elle eut fini, se demandant qu’elle était la meilleure des attitudes à adopter étant donné les révélations qu’elle venait lui faire.
La prendre dans ses bras et la serrer très fort, lui chuchotant quelques mots rassurants où se contenter simplement des mots de réconfort.
Il lui sourit, hocha la tête et opta pour la première solution.
C’est avec une grande délicatesse qu’il prit la main de la jeune fille pour s’avancer vers elle, l’attirant à lui aussi et une fois qu’elle fut dans ses bras il lâcha sa main pour l’entourer de ses bras pour l’embrasser ensuite sur la tempe et lui dire

« Je ne voulais pas te faire dire des choses si tu n’étais pas prête, je ne m’attendais pas à ça où j’aurais été un peu plus délicat dans mes propos mais…. »

Et avant de continuer, il releva le menton de la jeune fille pour la regarder droit dans les yeux avant de caresser son front, le dégageant des quelques mèches un peu rebelle qui ne daignait pas rester en place malgré le serre-tête de la jeune fille.

« Je suis loin d’être parfait, j’ai mes défauts comme tout le monde, je suis lunatique, j’ai mauvais caractère, je suis un peu idéaliste et il m’arrive même d’être un peu grognon, mais je ne suis pas du genre à vouloir tout prendre lorsqu’on m’en offre un peu….tu vois ce que je veux dire ? »

Il avait toujours de ses images lorsqu’il voulait expliquer les choses, il ne savait pas aller droit au but, tout était toujours sucré et édulcoré, il avait le don de la diplomatie c’était un fait :

« Enfin, ce que j’essaie de te dire, c’est que je te promets que je n’essaierai jamais d’obtenir de toi ce que tu n’es pas prête à me donner….. »

Il tenait la tête de la jeune fille entre ses mains et son pouce sur les joues de la demoiselle, il l’attira à lui pour poser un délicat baiser sur les lèvres de la jeune fille.
Délicat et presqu’imperceptible auquel elle donnerait suite si elle le désirait, mais il ne souhaitait pas la brusquer.

« Allez viens, je crois que j’ai laissé la caméra allumée, et je voudrais pas que tu aies des ennuis…. »

Et il la prit par la main en direction de la salle qu’il venait de quitter précédemment, pour éteindre le jouet qu’il avait laissé la.

La petite Haylie s'était sentie quelque peu mal a l'Aise face a ses propos, rien de plus normal puisqu'en fait elle s'était mise a tout prendre pour acquis y compris la liberté que bénéficiait le jeune homme. Elle avait exagéré et il avait riposter, tout ce qui a de plus normal mais une chose demeura instable, la confiance qu'ils avaient l'un pour l'Autre.En effet si la petite blonde pouvait lui prouver qu'il était toujours le même type qui riait a ses commentaires, qui complétait toujours la phrase de la jeune actrice.Il ne semblait le voir sous cet oeil, ce qui était totallement dommage, si au moin il pouvait se contenter du fait que la jeune fille faisait des efforts pour essayer de le faire sourire plutot que de laisser se replier sur lui-même.

Haylie ne supportait l'idée de le voir partir, non vriament pas....pourquoi fallait-il soudainement qu'il parte en oubliant tout ce qu'ils avaient fait durant l'espace d'une soirée. Leur complicité hors du commun, tout cela ne pouvait pas se gacher pour une histoire de dressage. Donc Haylie s'était mise a penser, réfléchir un peu sur ce qui pourrait lui faire changer d'Avis ce qui n'était certe facile. Elle avait utliser les grands moyens....raconter l'histoire la plus effrayante qui avait été donné de vivre jusqu'A présent. La petite Weasley savait que les grands mots choquaient elle avait donc adopter de les camoufler sous un vocabulaire un moin précis mais qui pouvait laisser voir largement ce qu'elle sous-entendait la dedant. Bien entendu vicitme du viol n'était pas chose facile mais avouer cette expérience était comme étant un supplice pour la demoiselle qui a chaques qu'elle se retrouvait seule dans une pièce se mettait a paniquer. La compagnie la rassurait, lorsqu'il s'Agissait de jeunes hommes, la miss se montrait quelque peu méfiante vis a vis eux mais ne lassait rien entrevoir par sa soif de jeu. Par chance jusqu'A présent la petite Darson n'avait jamais été confrontée a partager ce passé douleureux avec personne mise a part son père en qui elle avait donner toute sa confiance.

La jeune femme avait fait plusieurs remises en question concernant l'enfant. Bien entendu il s'Agissait d'un sujet de débat depuis des années et dont elle était totallement conrte les femmes qui avortaient mais lorsque ce fut son tour, l'Adolescente ne savait plus ou se situer. Était-ce un crime que tuer un embryon? Ou bien était-ce un crime que de mettre au monde un enfant alors qu'il lui rapellerait que de la violence? Quoi qu'il en soit l'Avortement demeurera toujours un sujet bien complexe, il y avait des circonstances qui devaient demeurer comme étant compréhensibles. Pour ce qui était de William, Haylie ignorait comment il prenderait la chose, elle venait de lui faire toute une révélation et dont elle espérait qu'il n'en tire pas profit pour la ridiculiser. Malgré le fait qu'elle ne considère pas le jeune Carlton comme tel, on ne pouvait jamais se fier sur personne, qui sait? Peut-être que l'individu en question irait dès qu'il en aura l'occassion aller tout bavaser aux journalistes du lycée ou encore qu'il parte un rumeur en supposant que la miss courait après les ennuis, qu'elle couchait avec qui se présentait devant elle et par la même occassion tombait enceinte. Non elle avait fait une confidence très dangereuse mais en même temps c'était la plus belle preuve de la confiance qu'elle pouvait porter a Liam.

Elle réussit a obtenir de lui ce qu'elle désirait, une pointe de culpabilité dans ses propos. Bien entendu s'il avait entendu cette histoire plus tot peut-être qu'il n'aurait pas agis aussi fortement démontrant sa grande force de caractère que même Haylie avait de la difficulté a tenir tête. Ainsi donc le jeune homme s'était rapproché d'elle l'Attirant contre lui, l'entourant de ses bras, tout ce qu'elle espérait en fin de comptes. Un peu de réconfort parmi tout ca, on pouvait dire que c'était une des jurnées des plus remplies pour la demoiselle, on pouvait dire qu'elle n'Avait jamais partager autant d'émotions en seul soir, comme quoi la vie pouvait être si remplie de surprises! Toutefois, alors qu'il cherchait son regard, Haylie s'était mise a promener ses yeux tout autour d'elle ne voulant pas le regarder droit dans les yeux pour le moment. Elle céda, en noyant ses petits yeux noisettes dans ceux du Shakespearien lorsqu'il lui répondit qu'il avait un mauvais caractère. Un petit sourire naissant sur son visage, elle ne put s'empecher d'échapper un petit rire lorsqu'il lui parla du fait d'être grognon. Ce qui pouvait avoir de bon en William, c'était surement sa franchise, son honneteté irréprochable avait gagné le coeur de la jeune femme.

-Je vois très bien Liam...De toute manière les hommes parfaits n'existent que dans les film! Fit elle alors que son sourire s'élargit quelque peu, elel trouvait toujours quelque chose pour faire en sorte que tout le monde oublie un malaise ou encore pour casser la glace qui pouvait exister entre les personnes.

Il enchaina en précisant qu'il ne demandera jamais d'elle ce qu'elle ne désirait pas lui donner. Bon si on prend comem référence son foulard, il avait tort dans ses propos, s'était mis en tête qu'elel céderait a son tour aux caprices du jeune homme, toutefois lorsqu'elle repensait au fait qu'il ait refuser de demander queqlue chose a la Darson lorsqu'elle lui avait dit qu'elle était prête a tout, il fallait dire que c'était assez exceptionnel. Il s'était résigner a cette idée en ne demandant rien, elle fait même quelques tests durant la soirées et a chaques fois le jeune Carlton ne désirait rien...Surprenant tout simplement!

-Tu gardes toujours ce foulard...Un caprice auquel je n'Ait surement pas le choix de céder n,est ce pas. répliqua cette fois le jeune fille en reprenant son éternel sourire rempli de malice. Elle ne voulait pas s'Atarder sur cette atmosphere trop lourde ou regne la méfiance. Non il vallait meiux tourner tout cela sur un ton un peu plus plaisantin.

Par chance elle eut même droit a un baiser tout doux, tout tendre de la part de son éleve de tango, il semblait être très peu sur de lui en déposant ses levres sur celle de la jeune femme. Sachant très bien qu'il ne désirait tout simplement pas la brusquer, ce fut elle qui fit le grand pas...en prologeant ce baiser allant jusqu'a mettre ses mains fines sur les joues du jeune homme. Puis elle mit fin a ce baiser tandis que Liam se hata de trouver une chose pour faire diversion, aller voir la caméra. Il avait peur que la machine s'Abime ou encore qu'elle tombe par terre. Haylie se mit alors a rire, comme quoi lui et les excuses ca faisait deux! Elle secoua négativement de la tête

-Tu t'inquiètes pour moi maintenant? Ah mais c est gentil ! Des ennuis pour ca? Il faut d abord qu ils sachent que c est moi!

Puis main dans la main, ils prirent la direction de la salle ou le jeune homme s'était mis a tout filmer et eteignit la caméra. Haylie attendit patiemment en arquant un sourcils, surprise de voir qu'il semblait connaitre cet engin plsu qu'elle. La miss avait mis du temps pour trouver le bouton qui permettait d allumer la machine alors la pour l'éteindre... Elle ne s'attarda pas trouver quelque chose a faire, Haylie avait laissé le pauvre jeune homme seul l'espace de quelques minutes pour aller chercher dans la pièce d'a coté ce qu'elle lui avait promis. Elle revint avec quelques brochettes de poulet dans une assiete qu'elle tenait d'une main et l'Autre main, elle avait une assiete pleine de riz. Ce n'était ce qui pouvait rassier l'orgre qui se tenait devant elle mais il ignorait qu'il ne s'Agissait pas de simplement ca, il avait autre chose.

-Alors? C'est mieux que des Pizza non? De toute manière ils ne dirons rien, dire qu'ils comptaient garder ca pour demain, je ne vais tout de même pas manger leurs restes! Attend de voir le dessert...

Il se sentait un peu coupable lorsqu’il l’entendit lui confier ses instants de sa vie si traumatisant, évidemment, qu’il ne put qu’être touché bien au dela de cette histoire tragique pour elle.
Difficile de mettre fin à une vie qui nait en nous, si petit soit-elle…
Difficile d’offrir son intimité à un homme qu’on n’en estime pas digne et qui se prend le droit de la voler, en laissant au cœur comme au corps une marque indélébile, une trace, une cicatrice qui ne se refermera sans doute jamais.
Dès lors, il n’avait pu que se sentir flatté qu’elle le lui confie alors qu’il n’avait partagé ensemble que quelques heures.
Peut-être que comme lui, elle ressentait cette complicité si peu commune, lorsqu’on connait si peu les gens, qui existaient déjà entre eux qui deux semaines auparavant n’était encore que des étrangers.
Il était d’ailleurs rare qu’il se sente si à l’aise avec une jeune fille et à présent, le fait qu’elle vienne de lui confier ses instants si douloureux de sa vie ne ferait qu’en rajouter. Il se sentait par ce secret, parce qu’il se doutait que cela l’était et devrait le rester, plus proche d’elle qui ne l’avait jamais été jusqu’alors et il ressentit alors ce besoin de la prendre dans ses bras, de l’embrasser sans la brusquer, de la protéger et de faire de celle-ci sa princesse.
Et c’est ce qu’il fit, il la prit dans ses bras, lui caressant tout d’abord le front et s’expliquant, lui faisant part de sa culpabilité à l’avoir fait ainsi parler, involontairement et après avoir fait le rapport de ses traits de caractère les moins agréable.
C’était sa façon de lui faire comprendre qu’il était conscient de ce qu’il était, de ses défauts autant que ses qualités, bien qu’il était moins prompt à les réciter.
C’était s façon d’affirmer à son ange aux yeux noisettes qu’elle n’avait rien à craindre de lui et qu’elle pouvait continuer à lui faire confiance.
Il se pourrait qu’un jour il la blesse (hum on se demande de quoi je parle) mais il resterait honnête en toutes circonstances, acceptant sa colère s’il le fallait, lui réclamant le pardon si elle le souhaite et admettant sa décision, mais il ne pourrait se résigner à lui mentir pour se valoriser.
Si elle devait pardonner et accepter, autant qu’elle le fasse sur de bonnes bases, sans laisser nulle ombre ternir le joli tableau qu’il pourrait peindre ensemble.
Elle avait alors prit la parole dans une de ses remarques qu’elle avait sans doute voulu guillerette, destinée à détendre l’atmosphère mais il y avait une grande part de vérité dans son discours.
L’homme parfait, tout comme la femme parfaite, n’existe qu’au cinéma….c’est peut-être parce que les films, ses histoires mises en images, relataient une part de rêve de d’imaginaire, qu’il aimait tant le cinéma et qu’il se destinait à un métier qui n’en est pas moins un dérivé. Il pourrait alors Inventer des histoires, des contes où les protagonistes vivraient ou mourraient selon ses desideratas.
Elle n’avait tout d’abord pas voulu affronter son regard, ce qu’il comprenait parfaitement, mais plutôt têtu et obstiné, il avait tout de même insisté, pour qu’elle puisse voir par elle-même l’étincelle de sincérité qui brillait dans l’œil bleu du jeune William, non content de la voir sourire un peu, il hocha la tête, acquiesçant à ce triste constat qu’est la faiblesse de l’homme.
Et elle n’avait pas décidé de laisser l’atmosphère s’alourdir parce qu’elle revint à la charge avec cette histoire de foulard.
Lui, avait une bonne raison pour le garder…un souvenir qui le ferait sourire à chaque fois qu’il le verrait, à chaque fois qu’il l’apercevrait et qu’il serait tenté de sentir le parfum de la demoiselle de temps à autre, lorsqu’il penserait à elle…
Oh, peut-être pas tout de suite, mais il avait eu envie de le garder et souvent, lorsqu’il avait réellement envie de quelque chose, si les conséquences ne sont pas trop lourdes, il succombait à ses propres caprices au même titre qu’il ne pouvait succomber à ceux de la jeune blonde.
Alors, ne se contenta pas de sourire il lui dit :

« Je ne te le rendrais pas, c’est mon…tribut pour l’essayage de complet de tout à l’heure….un caprice en vaut un autre…… » et il lui avait sourit pour lui offrir ensuite un clin d’œil avant de poser un délicat baiser non exagéré, de peur de la brusquer, sur ses lèvres lui offrant la possibilité si elle le souhaitait de faire de ce baiser le signe d’une trêve.
Et c’est ce qu’elle fit, posant ses mains sur le visage de Liam qui, quant à lui, n’avait pas lâcher le visage de la jeune fille qu’il détenait avec une grande douceur entre ses deux mains.
Lorsqu’elle mit fin à ce baiser qui rassura quelque peu Liam, il avait cherché une excuse pour s’éclipser et retourner d’où il venait, ne souhaitant pas parler encore de cette histoire, en venir à lui poser des questions.
Pas maintenant, elle le lui avait confié et cela était déjà une grande chose, une grande confidence dont il n’abuserait pas
Elle lui en parlerait sans doute à un autre moment, un moment plus propice aux confidences et moins au jeu, un moment où lui aussi, lui confierait ses propres peurs et ses propres traumatismes d’enfants, comme nous sommes tous confrontés à vivre un jour.
Alors, il l’emmena donc dans la pièce où il avait laissé la caméra, se contentant de sourire et d’affirmer d’un signe de tête entendu ce qu’elle venait de lui dire et il se retourna pour ranger tout ce qu’ils avaient emmêlés et déranger sans se rendre compte que la jeune fille avait quitté la pièce pour revenir quelques instants plus tard avec des brochettes et du riz.
Triiomphante, elle clama que c’était mieux que des pizzas et lui ne la quitta pas du regard, posant sur la table la caméra.
Il la trouvait forte et fragile à la fois, têtue et docile à la fois, capricieuse et constante à la fois, mais il n’avait pas l’impression de passer du temps avec une actrice. Elle était un paradoxe doux et mystérieux, qu’il se délectait de pouvoir en découvrir les multiples facettes.

« On ne peut pas s’ennuyer avec toi…. » lui dit-il le sourire aux lèvres et prit d’une envie irrésistible de l’embrasser, s’abstenant, puisqu’elle avait les mains chargées qu’il se hâta de d’aider la jeune fille, posant les plats sur une petit table dans le fond de cette même pièce, où il y avait quelques chaises pliables correctement rangée dans un coin.
Il en déplia alors deux et les posa devant la table avant d’attendre qu’elle s’installe pour faire pareil et qu’elle ne lui parle de dessert.
William était plus sucré que salé ;
Il lui arrivait même, lorsqu’il était petit, de commencer le repas par le désert, se faisant engueuler par son père…
Ce souvenir lui arracha un sourire et il lui dit :

« Un dessert ? tu sais que….lorsque j’étais petit, je commençais tous mes repas par la, ce qui avait le don d’agacer mon père…j’allais le chercher dans le frigo et lorsque j’avais mon assiette pleine de légume, de viande et tout ce qui va avec, je ne mangeais plus. Un jour, mon père en au tellement assez qu’il m’a privé de dessert pendant plus d’un moins. Si je voulais du chocolat, je devais manger, et ensuite le mériter….alors, il me soumettait à toutes sortes d’épreuves et il m’emmenait en ville manger un brownie si je réussissais ce qu’il attendait de moi… »

Et comme à chaque fois qu’il parlait de son père, on pouvait lire dans ses yeux cette étincelle de nostalgie mêlée aux remords….

Haylie avait sentie qu'elle pouvait lui avouer un tel passé a William, Pourquoi? Tout simplement parce que dès le début, elle avait sentie qu'elle pouvait lui faire confiance, qu'il n'Allait certianement pas abuser. Bien entendu tout cela n'était que des supositions quelques peu mis en l'Air pour le moment mais William ne serait pas en mesure de lui faire du tort, bien qu'elle l'espérait, elle en était sure. Bien entendu il était difficile de dire que quelque chose était sure mais tout de même son intuition lui disait qu'elle pouvait se confier a lui.

On dit parfois qu'une chimie se fait entre deux êtres, on pourrait même dire qu'ils se connaissent depuis toujours alors qu'ils demeurent toujours des étrangers.Elle lui parlait librement en lui disant des choses qu'elel n'avait confier a personne, un jeu dangereux certe mais pourquoi lui accorder autant d'importance a lui? Lui qui deux jours auparavant venait de faire irruption dans sa vie. C'était insencé et complètement absurde, comme elle le pensait un peu plus tot c'était la plus belle preuve de confiance qu'elle pouvait lui apporter. Peut-être que si elle avait décidée de le raconter a William lui était du au fait qu'il désirait la voir. Il al désirait malgré le fait qu'elle avait poussé les choses a bout dès la première soirée et qu'il n'Avait pas tenu compte des dégats étant donné que cela faisait partit de ses désirs égallement. Étrangement pour la première fois elle s'était sentie libérée d,un tel fardeau, le fait de le dire a une autre personne lui faisait du plus grand bien. Le mieux aurait été un psychologue, son père le lui avait déja conseillé mais Haylie croit que ce genre de personnes possèdent a force de travailler toujours avec des personnes a problèmes, dévellopent des troubles mentaux qui pourrait pousser a la folie. Non le mieux était de se replier sur-elle même comme elle avait si bien fait jusqu'a présent, une petite exception ce soir.

Le jeune homme revint plus pres lui offrant comme réconfort ses bras un doux baiser sur sa tempe. Muette, elle s'était contentée d'écouter ce qu'il avait a lui dire, de toute manière comme son père lui avait déja répeter lorsqu'elle vouait toujours donner son dernier mot :Ma fille, sache que mieux vaut se taire et se faire passer pour un imbécile que parler et d'en fournir la preuve. Or bien, la jeune blonde n'avait jamais utilisé cette phrase comme étant un conseil, ce soir cela pouvait lui être utile.

Puis elle fit allusion aux hommes parfaits en écoutant le profil du jeune Carlton qui était peut-être un peu trop dur avec lui même, il voyait des défaults la ou il y en avait pas. Haylie garda ces détails pour elle, trop orgueuilleuse pour admettre quoi que ce soit, ainsi elle ne donnera pas une trop grande idée de ce qu'elle pensait véritablement de Liam. Non il le découvrira par lui-même mais il était clair qu'il ne fallait pas qu'elle fasse un dessin pour lui démontrer qu'elle le trouvait agréable. Il s'était mis a hocher de la tête admettant lui par contre que les homems parfaits ne se trouvaient que dans les films. Combien de fois avait-elle espérée vivre la même chose dans la vraie de ce que son personnage ne vit dans un tournage. Peut-être bien la raison de ses échecs en amour se trouvait la, la miss était exigeante et donc dissuadait chacunes de ses conquêtes a chaques fois?

Comme pour changer subtilement de sujet afin de pas demeurer dans cette tristesse, elle se hata de parler de foulard alors qu'il disait ne pas exiger des choses a l'exces.Naturellement il se hata de se défendre en faisant référence a l'essayage de complet. Ayant maintenant des petits yeux pétillants elle se mit a nouveau a rire, a croire que sa bonne humeur ne faisait qu'accroitre a fil des minutes. Pourvu qu'elle oublie cette histoire de viol, tout ira pour le bien, pour ca il fallait que le Shakespearien oublie a son tour ce qu'elle venait d'Avouer ou du moin qu'il évite le sujet et la soirée finirait en beauté.

-Bon très bien je considère ca comme du donnant donnant!

Il se contentait de peu celui-la, si tout ce qu'elle lui avait demander équivalait ce simple foulard alors elle n'avait aucune raison de se plaindre et n'Allait certainement pas lui faire penser a d'autres idées. Non ca sera suffisant tout simplement. Ayant droit a un baiser qui fut lui avait été doucement déposé sur ses lèvres, elle n'avait pas hésitée a en profiter en mettant ses mains sur le visage du jeune homme prenant ainsi plaisir a l'embrasser mais elle y mit mis pour ne passer une nuit blanche, oui aprce que s'il ne s'Agissait que d'elle, la miss passerait des heures entières dans les bras du jeune individu a l'embrasser mais bon, William serait porté a croire qu'elle ne lA'vait réclamer que pour profiter de ses lèvres ce qui ne serait pas tout a fait raisonnable. Il parla donc de la caméra, chose qu'elle trouvait tout sauf importante et donc lui fit part de ses intensions. Tout reporter sur la faute d,un autre si un incident se produirait, qui pourrait la soupconner? Elle avait été jusqu'A présent un ange sur le plateau de tournage, se proposant même pour aider, étonnant, elle qui ne pensait qu'A son propre intéret.

Elle avait tout de même abandonner William pour aller chercher le repas. Il ne fallait tout de même pas qu'il parte sans rien avoir avaller, il serait tenter a penser qu'elle ne sait pas tenir ses promesses alors que c'était faux. La petite blonde revint les deux mains chargées, l'une avec les brichettes, l'Autre avec le riz, ce fut sous un sourire qu'elle ne put recevoir le remerciement de la part du jeune Shakespearien. EN plus de cela il la compliementait, quoique a présent elle se méfiait un peu plus de ses compliments sachant ce qui s'était produit lors du soir de Noel ou il l'avait comparé a l'Ange anglais.

-Je prend ca comme un compliment très cher même s'il est possible que je me trompe a nouveau

Puis en tant que Gentleman, il l'Aida a déposer les assietes sur la table et alla même chercher des chaises pliables qu'il s'était donné la peine d'ouvrir et de laisser s'installer la demosielle avant de lui même prendre palce. Il était vriament poli celui-la, un des rares types qui pensent aux autres avant de penser a lui même. Liam lui parla alors de son père a nouveau, usant touours de la même mélancolie lorsqu'il parla de son passé, a nouveau la curiosité de la jeune fille était au rendez-vous mais pensant qu'ils avaient déja assez bénificier des drames pour ce soir, elel s'abstena de lui faire part de ses impressions quant il parlait de son paternel. Toutefois cela n'ota pas toute son attention qu'elle portait sur le récit


-C'est ce que j'appelle être un petit gourmant ca Liam, il a eu raison ton père, je vais faire la même chose. Donc mon fils tu n'Aura pas de dessert tant et aussi longtemps que je verrais un bout de viande ou de riz dans ton assiette m'ais-je bien fait comprendre?Fit elle en prenant a novueau un role, s'était son moyen de s'évader, d'oublier ses véritables ennuis et de se laisser marcher sur les pieds, ainsi elle pouvait se montrer forte et dure, bien que poour le moment elle n'avait su que démontrer ses cotés faibles de sa personalité.

Cette bataille pour le foulard était enfin terminée, et ce fut William qui remporta la bataille mais pas pour autant la guerre^^.
Guerre, c’était sans doute un mot un rien trop exagéré car leur petites batailles étaient synonymes de jeu et de plaisir, contrairement à ce que comporte le mot « Guerre » mais, disons que les deux jeunes gens, dans l’expression de leur fort caractère, menait l’un l’autre une petit lutte pour ne pas se laisser écraser par l’autre.
C’était fou d’avoir à mener ce genre de combat au début d’une histoire mais il n’était pas réellement étonné.
Il se connaissait peu et partageait une fière complicité. Il avait d’ailleurs l’impression de la connaître depuis toujours, comme s’ils avaient grandi ensemble.
Il se sentait tellement à l’aise avec elle qu’il avait cet impression qu’il la connaissait aussi bien qu’une amie d’enfance par exemple…mieux que Presea….
Bien entendu, ils ne se connaissaient pas vraiment même si cette impression perdurait et s’amplifiait à chaque instant, mais il avait le sentiment qu’il ne pourrait qu’apprendre à s’aimer au fur et à mesure qu’ils apprendrait à se connaître.
C’est du Donnant-donnant, elle l’envisageait comme tel et lui répliqua :

« De toute façon je ne te laisse pas le choix » en tapotant le foulard qui était toujours lover dans sa chemise, sous son pull où elle n’irait pas le chercher, et ou elle n’essayera d’ailleurs plus.

Ils profitèrent d’un doux baiser somme toute fort agréabe, tellement agréable qu’il aurait souhaité qu’il ne finisse jamais mais, comme on dit, il ne faut jamais abuser des bonnes choses….elles ont toujours une fin d’ailleurs.
Ils finirent par retourner dans la salle d’où il venait, où Liam éteignit la caméra avant de la voir revenir avec des plats. Avec tous évènements, il en avait presque oublié qu’il mourait de faim quelques minutes après, mais l’odeur du riz et des brochettes de poulet lui titillèrent si bien les narines qu’il en eut l’eau à la bouche et il ne put s’empêcher de souligner qu’elle était pleine de surprise et qu’il ne pourrait s’ennuyer avec elle.
Comme dans une allusion à la façon dont il lui avait fiat bien faire comprendre que lui dire qu’elle était un ange n’était pas un compliment à la soirée de Noel, elle l’informa qu’elle prenait ces mots pour un compliment justement même si cela n’en était pas un.
Alors, il se mit à rire et répondit le sourire aux lèvres :

« Je dois admettre que sur ce coup la j’ai pas été très délicat…mais cette fois, oui c’est un compliment, tu es étonnante et j’aime assez je dois dire…… »

*Pour ne pas dire que j’adore* pensa-t-il. Pas la peine de la flatter un peu plus encore, elle se croirait tout permis

Il dégagea les mains de la jeune fille des plats qu’elle tenait et lui prépara même une chaise attendant qu’elle s’installe pour le faire à son tour.
IL lui raconta une petite anecdote concernant son pere et il rit en l’entendant jouer le même rôle que lui à l’époque.
A peu de chose près, elle avait utilisé les mêmes expression que celui-ci.
C’est de la pure gourmandise, pas de désert tant qu’il restera de la viande dans son assiette, et l’œil remplit de malice et le sourire qui suivait, il lui dit :

« Tiens donc, je me demande bien si tu es aussi ingénieuse que lui….Au bout du premier mois, j’ai du mérité mon désert si je le voulais….. »

Il regretta bien vite ses paroles, car il ne doutait pas une seule seconde qu’elle serait aussi ingénieuse que Carlton père.
Dès lors, il haussa un sourcil et ajouta :

« Je te préviens que depuis ces expériences, je sais me passer de désert »

Comme une mise en garde du genre, « Tu peux inventer n’importe quoi, je préfère me passer de désert si ce que tu me proposes m’incommode….. »

Il termina dans un fou rire avant de jeter un œil dans l’assiette de sa collègue pour lui chiper un morceau de viande alors qu’il n’avait pas encore toucher à la sienne :

« Elle me semblait meilleure » répliqua-t-il innocemment, lui adressant un clin d’œil et s’installant un peu mieux dans le fond de sa chaise.

La jeune Darson venait de laisser mener une fois de plus comme quoi le petit Liam pouvait passer de victime a bourreau dans le temps de le dire. Il avait un certian talent pour mettre les choses en place, tout demeurait clair et précis. Par contre sa détermination la laissa stupéfaite, elel commencait sérieusement a s'inquiéter sur les intensions du jeune homme face a son foulard. Il ne comptait réellement pas le lacher, ni même lui donner une idée de victoire. Non au moin il était franc, ca demeurait un atout principal. Petit sourire d'Accroché aux lèvres, elle le regarda tapoter sa chemise, comem s'il cherhcait a la provoquer davantage. Haylie savait très bien qu'il s'Agissait a nouveau de leur plaisanteries enfantines mais tout de même si elle était de mauvaise humeur, William aurait pu gouter au tempérament assez corsé de la demoiselle. Il avait eu un avant gout certe mais tout de même, ca en demeurait qu'un preview en quelque sorte, rien de tellement concret a vrai dire.

Puis elle eut droit a un baiser, doux, pas des plus passionnés mais tout de même fort agréable qui l'aurait pousser a le prolonger davantage, néanmoin la soirée avancait. Haylie s'en rendait compte, rien qu'A entendre son estomac lui cirer famine. La demoiselle n'Avait rien avaler de toute la journée mise a part quelques verres d'eau et des barres qui lui servent de substitut de repas. Troublée la petite? Pas juste un peu, a en croire sa nutrisionniste, elle deviendera anorexique d'ici peu mais bon têtue comme l'est la blonde, elle ne voulu rien savoir. Non elle désirait donenr une bonne impression au Shakespearien, question de bonnes manières, elel s'était déplacée jusqu'a une salle qui était cote a cote a celle ou se tenait présentement William seul, abandonné a lui-même.D'Ailleur la petite Darson venait de démontrer une autre facette de sa personalité, la générosité, bien qu'il ne s'Agisse pas tout a fait du sien mais bel et bien ceux du studio, il en demeurait tout de même qu'elle s'était permise de lui offrir quelque chose a manger sans pour autant être du fast-food.

Puis faisant allusion a la dernière fois ou elle s'était montrée quelque peu naive pour prendre pour compliment les simples paroles de son interlocuteur. Elle avait cru a ce moment la, qu'il s,était moqué d'elle mais en le connaissant mieux de tels propos n'étaient même plus envisageables. Son rire lui faisait chaud au coeur, surtout qu'elle craignait de le voir partir les quelques minutes auparavant. Non et voila qu'il en suffisait peu pour le rammener a la normale, c'est a dire a le voir sourire. Ce sourire qu'il lui donnait autant de bonheur, oui parce que après l'argent, voir un sourire pour un visage rendait la jeune fille animée. C'est en quelque sorte sa joie de vivre, en plus de cela, sur le Visage de William, elle avait pouvait sentir cette sensation de bonheur, sauf s'il était aussi un bon acteur.

Tout de même, comme pour flatter son égaux, ce dernier lui dit qu'elle pouvait se permettre de prendre cela comme étant un véritable compliment et qu'elle était étonannte. Cela suffit pour que la demosielle leve la tête triomphante, elle émit égallement un sourire ravageur qui démontrait son orgueil mais la suite fut meilleure. Il avoua aimer, l'apprécier en d,Autres termes. Une chance qu'elle avait entre ses mains des assiettes,sinon elle aurait probablement profiter de ce moment pour se permettre de jouer a nouveau. Elle exagérerait, ce qui pourrait peut-être bien avoir un coté néfaste sur la réaction du Carlton si celui-ci n'aimait pas les avances. Haylie était du genre a tout prendre en amplifiant ce qu'on lui donnait.

-Oh Vriament? Ravie que ca te plaise Fit elle en lui faisant un clin d,oeil

Puis s'était mis a lui débarasser de ce qu'elle détenait dans les mains et en toute politesse et lui fit place en dépliant sa chaise devant la table. Elle s'Assit avec grace et élégance avant de se hâter de le regarder dans les yeux. Ca en devenait une drogue, lorsqu'elle se sentiat a l'Aise, elle pouvait noyer son regard ainsi pendant des heures et lorsqu'elle se sentait attaquer, elle ne pouvait supporter cette intensité, pourquoi? TOut cela pouvait sembler si absurde et pourtant, il en demeure une logique, ce regard aussi percant est capable lire la de la Darson comme un livre ouvert et sait de cette facon ce qu'elle ressent véritablement. Par moments ca l'effrayait, a d'autres elle n'y cherhcait que support.

L'oeil malicieux, un sourire enfantin de scotché sur ses lèvres, il s'était mis a prendre en terme de jeu d'enfant les paroles de la jeune femme comme étant celles de son père. Un petit air autoritaire qu'elel ne réussit pas a garder plus qu'une minute sans se mettre a rire toute seule. Il la mit au défit, si il pouvait penser qu'elle ne se montrerait pas aussi ingénieuse que son paternel, alors la....la il commencait a s'écarter

-On verra bien mon cher, on verra bien,allons voir si tu vas mériter ton dessert

Mais a peine venait-elle de terminer sa phrase que William enchaina, lui dissant que si elle demandait l'impossible qu'il se priverait de sucre. Bon un caprice de moin, il avait une limite certe mais Haylie aimait bien froler les lignes qui délimitait sa limite. Prenant cela comem étant une défaite, la miss se mit a soupirer avant de secouer négativement de la tête.

-Hum...je crois bien que tu ne sauras résister a ce dessert, parole de Darson! Fit elle en levant la main tout gardant l'Autre sur le coeur comme on le voyait si bien dans une cours de justice.

Se mettant a rire de nouveau, cette fois elle avait gagné, des mots un peu trop disportitionnés mais le voir rire de la sorte était un bon signe d'une bonne relation et donc elle avait aprvenue a le mettre a l'Aise. Gagner sa confiance,sa complicité ce qu'elle possédait depuis le début, il ne manquait plus que l'Attachement. Ensuite ca sera mission accomplie...mieux vaut cirer victoire que lorsqu'elle aura la certitude de ses plans, pour l'instant il n'y avait rien de concret et malgré qu'elle était de nature impatiente, il faudra qu'elle s'Acclimate avec le temps pour se permettre d'Avancer dans cette relation.

C'est alors qu'il se permit de prendre un bout de viande dans son assiette, al jeune femme ne se laissa aucunement intimider par ce geste, elle en demeura tout simplement bouche-bée et plissant des yeux. Il reprit des paroles qu'elle avait entendu dans sa jeunesse, la verdure est toujours plus belle chez le voisin. Elle leva alors son index et se mit a l'Agiter en lachant un petit (:Tsss) tout en gardant son petit sourire remplit de malice. Elle se permit a son tour de produire le même geste en déposant la fourchette contre ses lèvres, elle se hata de répondre

-Bah...elle me semblait meilleure, quelle chance! Répondit-elle avant de prendre gout a la viande si bien marinée

-Maintenant monsieur devra se contenter de regarder son assiette hein...c'est pas poli jeune homme, pour ne pas dire tres tres grossier,mais....Fit elle en allant lui déposer un rapide baiser sur ses lèvres

-C,est vrai qu'elle semblait être meilleure...

[Désolé....aucune inspiration.....]

La faim rend le pain tendre.
Et c’est un adage qui était plus que confirmer car dans le cas présent, non seulement c’était délicieux et en plus, il avait tellement faim que William aurait trouvé à peu près n’importe quoi à son goût.
Ces deux là avaient fait les choses à l’envers.
Il avait d’abord fait les boutiques puis, la surprise d’Haylie et avec tous les évènements de ce soir qui s’enchaînaient à une vitesse folle, il en avait oublié de mettre quoi que ce soit en bouche.
Il mangeait en discutant et en se taquinant l’un l’autre, chipant dans l’assiette de l’autre les morceaux de viandes et il passait à nouveau un bon moment en compagnie de la jeune fille.
La conversation tournait sur le désert à présent et il se demandait bien ce qu’elle lui réservait.
C’est toujours en discutant et en papotant ensemble qu’ils finirent de manger et qu’il posa alors les yeux sur elle pour constater une fois de plus combien elle pouvait être jolie.
Il ne demandait qu’à la connaître mieux mais il avait le sentiment que ce ne serait nullement une mince affaire.
Elle avait un caractère qui en ferait fuit plus d’un mais dans le fond, souhaitait-elle réellement s’encombrer d’un jeune homme ? aussi charmant soit-il ?
Il ne savait pas trop ce qu’elle attendait et pour dire la vérité, il ne savait pas ce qu’il espérait d’elle, si ce n’est passé de bon moment sans se prendre la tête et on verrait ce qu’il adviendrait d’eux.

Pour toute réponse lorsqu’elle lui dit qu’il n’était pas poli, il n’avait rien trouvé de mieux à répondre que :

« il faut savoir jeune fille, tu te contredis, je pensais être quelqu’un de responsable…..tu as déjà changé d’avis ? »

Et après un clin d’œil, il termina son assiette et lança :

« Et le dessert jeune fille ? que me réserves-tu ? enfin, en même temps c’était très bon vraiment…..c’est ce qu’on vous réserve ? c’est un traiteur qui vous les apporte… »

La jeune femme passait a présent de bons moments avec le jeune homme pour ne pas dire de très bons moments. Elle était bien plus qu'heureuse en ce moment et ne voudrait pour rien au monde gacher ce moment. La miss ignorait si elle reverrait a nouveau le jeune Liam, si cela n'était aps simplement le fruit du hasard, s,ils n'allaient pas progresser un peu plus, se connaitre davantage tout en gardant leur si belle complicité. Il falalit dire que c'était incroyable, elle le conaissant simplement depuis quelques jours et lui avait déja accordée de la confiance, cela pourrait parraitre absurde mais elle s'était livrée a lui aussi facillement, il fallait pas qu'il prenne cela pour acquis car il risquerait d'être décu, il risquerait de croire que la jeune femme serait une ame en peine et qu'elle lui confierait tout ce qu'elle a sur le coeur mais c'était faux

Alors en cette soirée plutot assez spéciale et riche en émotions, les deux jeunes s'étaient adonnés aux piques assiettes, un tout autre jeu en étant tout aussi enfantin.Elle lui avait parler de politesse en guise de plaisanterie, rien de plus, elle ne voulait pas l'offenser réellement en parlant de cette facon mais elle ne voulait que rire encore un peu tout simplement. Amicallement alors, le jeune Carlton lui fit voir qu'elle se contredisait, il n'Aviat pas trop mais étant un peu tête en l'air, elle se retrouve insouciante de ses paroles ^^ et oublie pour la plupart du temps ce qu'elle voulait dire par la. Il était vria qu'il était quelqu'un de responsable mais tout de même ou en était le lien de la responsabilité et de la politesse? Enifn c'était absurde dans sa tête et lui fera voir ce qu'elle ne saisi pas...

-Ah non! Je ne me contredis pas voyons! Non non! J'ai juste oublier ce que j'Avais dit....tu crois que c'est grave? Je devrais peut-être consulter un médecin.... Fit elle en riant un peu

Puis elel répondit a son clin d,oeil avec un petit sourire en coin, il avait déja terminé son assiette, il était drolement rapide celui-la et réclamait déja le dessert alors qu'elle en était a la moitié. Il était de nature assez impatiente, encore une fois la petite Darson se contredisait, enfin il était aptient pour ce qu'il voulait et impatient pour autre chose, c'est de cette facon qu'elle le voyait mais bon, sous peine de se précipiter, le Shakespearien ralentit sa course en complimentant le souper, en effet c'était un véritable régal, il n'avait rien a dire. Elle en avait de la chance, toujours aovir des repas du genre sans avoir a lever le ptit doigt, il avait raison le jeune brun, c'était bel et bien un traiteur de toute manière la miss est allergique au travail ce qui ne l'Avantegerait certainement pas en cuisine

-Hum....il faut attendre très cher, attendre, tu ne seras pas décu, je peux te l'As...

Elle n'Avait pas terminé sa phrase qu'elle entendit du bruit la piece d'A coté, il n'était pas supposé avoir quelqu'un dans le batiment a l'heure qu'il était, c'était impossible mais tout de même si une personne quelquonque la trouvait la, en compagnie d,une jeune homme autre que l'Acteur du tournage, alors elle serait foutue! D'un geste rapide, la jeune femme déposa son index sur les lèvres de William pour lui faire comprendre qu'il ne devait pas parler puis elle se pencha l'invitant a exécuter le même geste. Une fois qu'elle fut certaine de ce que c'était elle s'Approcha de Liam et lui murmura a l'oreille.

-Suis-moi....

Elle n'attendit pas la réponse de son interlocuteur, elle lui prit la main et se mit a courir jusqu'a la porte de sortie, une fois dans les couloirs, elle se tourna vers lui, le visage rouge, quelque peu honteuse de son geste et de cette décision si rapidement prise. La Darson se mordit la lèvre inférieure qu'elle faisait tout le temps lorsqu'elle se sentait nerveuse ou bien prise au dépourvu, puis elle regarda le jeune homme dans les yeux, cherhcant uen quelquonque sympathie dans son regard. Il n'allait pas la repousser pour l'Avoir brutallement arraché de cette petite ambiance paisible mais tout de même il chercherait a savoir pourquoi ce changement de comportement et pourquoi elle fut prise d'un moment de panique.

-Écoute....remettons ce dessert a une autre fois, il est tard et puis le portail doit être surement fermé donc je dois probablement me louer une chambre d'hotel ...il doit avoir les types de l'inspection a coté et puis on est pas censé etre la, ils n,en sauront rien je t'Assure....mais il faut partir...et vite...

Haylie espère qu'il ne se metterait pas a douter d'elle a présent, elle ne respectait pas toujours les règlements mais tant et aussi longtemps qu'elle ne sera pas prise, elle pourra contineur a délirer un peu, comme elle pense le plus souvent, le meiux est de froler les limites, gouter a tout ce qui pouvait avoir de meilelur sans pour autant abuser.